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Salésiennes Missionnaires de Marie-Immaculée (S.M.M.I.) (2003)

Les salésiennes missionnaires de Marie-Immaculée sont des religieuses qui vivent leur consécration en communautés multiculturelles et internationales. Elles poursuivent leur mission auprès des femmes et des pauvres et participent à la mission universelle de l’Église là où l’évangélisation n’est pas commencée ou est à ses débuts. La formation et l’évangélisation de la femme demeure, depuis son origine, le premier but à atteindre par le moyen des visites des familles, de contact personnel, de la catéchèse de l’éducation et du service social et médical selon le vœu des fondateurs : « Allez donc étendre au loin, jusqu’au bout du monde, l’influence de la méthode de saint François de Sales : révéler le salut apporté à tous et à toutes. ». Les sœurs salésiennes sont aujourd’hui au nombre de 1340 réparties sur les cinq continents. Enrichies par la diversité des cultures qui composent les communautés, elles sont l’expression vivante de la vitalité, de la fraternité et de la communion dans l’Église.

  • Supérieure : Soeur Josmi Joseph
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  • Rue Flamboyant, Batimarais,
    Rivière-des Anguilles
  • Tel : 632-0270

Chronologie

1911

Le Saint-Siège approuve la fondation de la Société des filles de Saint-François-de-Sales pour regrouper l’Association Saint-François-de-Sales fondée en 1872 et l’Institut religieux des salésiennes missionnaires de Marie-Immaculée. Elles demeurent, toutefois, deux branches autonomes mais unies puisqu’ils partagent la même spiritualité. La première est la branche contemplative laïque qui regroupe des fidèles mariées, veuves ou célibataires. Elle est présente à Maurice depuis 2001 et comprend aujourd’hui une trentaine de consacrées.

L’installation des Sœurs salésiennes missionnaires de Marie-Immaculée dans le diocèse de Port-Louis se concrétise avec l’arrivée de deux sœurs et de deux autres le 14 janvier 2004 à Batimarais, après quatre ans d’échange de correspondance et de démarches entre le diocèse et l’institut. C’était le père Maria Paschal Sundaram, curé de Rivière-des-Anguilles, qui, au cours d’une mission à Paris comme aumônier de l’Indo- Mauritian Catholic Association, avait fait la connaissance des salésiennes. Il fut la cheville ouvrière de ce projet dans sa paroisse : « Batimarais est la plus pauvre région de la paroisse où il y a une centaine de familles catholiques. Les gens de ce quartier et surtout les femmes manquent de motivation pour prendre la responsabilité de leur famille et de leur avenir. Les religieuses peuvent les aider et travailler pour la promotion féminine. L’action des sœurs salésiennes aurait ainsi trois orientations. D’une part, leur présence serait un témoignage de l’amour de Dieu dans Batimarais, quartier multi-religieux et multiracial et, d’autre part, elle aiderait grandement à promouvoir la pastorale et la catéchèse. Enfin, les sœurs accompliraient un travail de promotion féminine qui donnerait une motivation pour un avenir meilleur. »

2003

2020

Aujourd’hui la communauté de Maurice compte aujourd’hui 7 religieuses dont 6 Indiennes et 1 Malgache.

1911

Le Saint-Siège approuve la fondation de la Société des filles de Saint-François-de-Sales pour regrouper l’Association Saint-François-de-Sales fondée en 1872 et l’Institut religieux des salésiennes missionnaires de Marie-Immaculée. Elles demeurent, toutefois, deux branches autonomes mais unies puisqu’elles partagent la même spiritualité. La première est la branche contemplative laïque qui regroupe des fidèles mariées, veuves ou célibataires. Elle est présente à Maurice depuis 2001 et comprend aujourd’hui une trentaine de consacrées.

2003

L’installation des Sœurs salésiennes missionnaires de Marie-Immaculée dans le diocèse de Port-Louis se concrétise avec l’arrivée de deux sœurs et de deux autres le 14 janvier 2004 à Batimarais, après quatre ans d’échange de correspondance et de démarches entre le diocèse et l’institut. C’était le père Maria Paschal Sundaram, curé de Rivière-des-Anguilles, qui, au cours d’une mission à Paris comme aumônier de l’Indo- Mauritian Catholic Association, avait fait la connaissance des salésiennes. Il fut la cheville ouvrière de ce projet dans sa paroisse : « Batimarais est la plus pauvre région de la paroisse où il y a une centaine de familles catholiques. Les gens de ce quartier et surtout les femmes manquent de motivation pour prendre la responsabilité de leur famille et de leur avenir. Les religieuses peuvent les aider et travailler pour la promotion féminine. L’action des sœurs salésiennes aurait ainsi trois orientations. D’une part, leur présence serait un témoignage de l’amour de Dieu dans Batimarais, quartier multi-religieux et multiracial et, d’autre part, elle aiderait grandement à promouvoir la pastorale et la catéchèse. Enfin, les sœurs accompliraient un travail de promotion féminine qui donnerait une motivation pour un avenir meilleur. »

2020

Aujourd’hui la communauté de Maurice compte aujourd’hui 7 religieuses dont 6 Indiennes et 1 Malgache.

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