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Le père Gérard Mongelard dépose devant la commission d’enquête sur la drogue

21/10
2016
2 commentaires »

pere_mongelardLe p. Mongelard a déposé le jeudi 20 octobre 2016 devant la commission d’enquête sur la drogue. Ci-dessous, le texte de son intervention:

Comment je me suis intéressé au combat contre l’usage des drogues ?J’étais en mission à Rodrigues de 1996 à 2002. A mon retour, l’Evêque, Mgr Maurice Piat m’a envoyé à la paroisse Saint Sacrement à Cassis.Un jour, M. Cadress Rungen est venu me voir et m’a dit : “ Mon Père lacaz pe pran dife” en faisant référence à la drogue. Il m’a alors demandé si j’étais disposé à l’aider dans ce combat. Sans hésiter je lui ai répondu par l’affirmative car mes convictions religieuses me poussent a me tourner en priorité vers les personnes qui sont les plus vulnérables ; celles qui sont en marge de la société et qui sont les plus pauvres parmi les pauvres.

J’ai alors rejoint Cadress et toute son équipe qui avait commencé un travail de prevention avec le projet «  Dibout pu nu lendroit »a traers la conscientisation des familles mauriciennes dans la lutte contre la drogue.  En lien avec la N.A.T.Re.S.A ( National Agency for the Treatment and Rehabilitation of Substance Abusers ) le ‘National Prevention Unit’ (NPU) nous a aidé dans cette optique et c’était M. Sam Lauthan, alors ministre de la Sécurité Sociale qui était a l’origine de ce projet.  Cela nous a permis de former des ‘soldats’ non pas pour aller combattre mais pour prévenir et aider les jeunes et les familles en général à comprendre les méfaits de la drogue. L’une des choses qui m’a frappé à l’époque, c’est la synergie qui existait entre l’Etat et les ONG. Nous savions que nous n’étions pas seul et que nous avions le soutien du gouvernement et des différents ministères, cela nous a encouragé à travailler encore plus.
Nous avons pu toucher un maximum de personnes étant donné que les sessions avaient lieu en soirée c’est-à-dire de 19h00 à 21h00. l’intuition était bonne car nous savons qu’entre 9h00 et 4h00 le gens sont au travail.
Le rapport ci-dessous témoigne de la réussite de ce projet :
17 Juin 2002 – 24 Mars 2004
Nombre de sessions : 488
Régions touchées : 26
‘Community Leaders’ formé : 900
Familles touchées : 2700
Hélas, en 2005 il y eut un changement de gouvernement et la N.P.U a été dissoute laissant un vide dans la lutte contre la drogue et le V.I.H / S.I.D.A. au niveau national. De ce fait M Cadress Rungen avait été renvoyé de la NATRESA. Ce fut un coup très dur pour lui. Cet homme qui est un des membres fondateurs du groupe A de Cassis, groupe qui a fait ses preuves dans la lutte contre la drogue, était renvoyé pour des raisons qui n’étaient pas très nettes.
Devant la dissolution de la NATReSA et le renvoi de M. Cadress Rungen, le groupe A de Cassis n’a pas baissé les bras. Fort de l’expérience et de la formation données par la N.P.U. le groupe a envoyé ses « soldats » rencontrer les personnes dans leurs maisons a Cassis dans le but de faire une enquête sur les besoins et les désirs des familles.
Deux points forts de cette consultation :

  1. Il faut continuer la sensibilisation et la prévention.
  2. Trouver un lieu pour que les personnes qui sont infectées ou affectées par les fléaux de la société puissent se retrouver pour partager et se soutenir.

Devant ces deux demandes nous avons lancés Anti D.A.V.I.S et lacazA a ouvert ses portes le 1 décembre 2006

  1. Drogue, découragement
  2. Alcool, agression
  3. Vol. viol et violence
  4. Ignorance et indifférence
  5. Suicide et S.I.D.A

LacazA : A pour accueil, amitié, amour et tout ce qu’il y a de positif et qui comment par la lettre A.

  1. Quelques Faits

2.a Fermeture de la NaTresa
Aujourd’hui, la NaTresa a fermé ses portes. Il se peut que cet organisme avait des problèmes de gestion. Quand une institution fait face à certains problèmes, la solution n’est pas de la détruire, de l’enlever mais de trouver des alternatives pour régler les problèmes. Si demain dans ma paroisse il y a des problèmes faut-il pour autant fermer l’église ? N’est-il pas plus judicieux de trouver des solutions pour continuer le service offert ?
Cette fermeture peut amener le découragement de ceux et celles engagés dans combat pour la prévention
2.b Dans les écoles
Les membres de lacazA et moi-même sommes en contact régulier avec les recteurs et les enseignants des écoles confessionnelles ou nous sommes invités pour faire la prévention auprès des élèves.  (Malheureusement nous n’avons que ces écoles qui font appel a nous). Dans mes conversations avec eux ils me disent qu’ils savent que certains élèves consomment de la drogue et que d’autres font le trafic à l’intérieur des cours d’écoles. Ils se sentent démunis devant l’ampleur de la situation.

2.c Police
Même si je me réjouis de l’arrestation des policiers en possession de drogues, des différentes saisies qu’effectue la police et aussi de la parole donnée par le commissaire de police pour mettre les « brebis galeuses » hors état de nuire, c’est un signe que la police fait son travail et pa guet figir.je ne peux m’empêcher de me poser certaines questions :

  • Lors d’une rencontre avec les habitants de ma paroisse on a constaté un sentiment de peur et d’inquiétude devant la situation actuelle. Les gens ne parlent pas par peur de représailles, ou quand certains osent en parler, ils ont le sentiment que les autorités concernées ne font rien ou dans d’autres cas, les trafiquants disparaissent mystérieusement ou sont prévenus. Dans quelle mesure les citoyens peuvent compter sur les autorités pour les protéger et prendre les actions nécessaires a l’encontre des trafiquants ?
  • Dans les prisons : Comment se fait-il qu’un trafiquant ‘fête son anniversaire’ en distribuant de la drogue a ses amis à la prison ? – Comment cette drogue a-t-elle atterri à la Prison ?
  1. Statistiques

Cela fait un an depuis que la commission siège, la commission a déjà toutes les statistiques des différents ministères, en l’occurrence le ministère de la Santé. D’après ce que j’ai constaté sur le terrain et en voyant le nombre de personne admises a l’hôpital Brown Sequard, je suis très inquiet.  De plus, quand je fais les visites dans les hôpitaux ( je suis aumônier a l’hôpital Victoria), je constate malheureusement les dégâts auprès des jeunes, plusieurs liés à des cas d’overdose.
Je vais citer une phrase d’un médecin du ministère de la Santé récemment : « It’s only the tip of the iceberg » Je pense qu’il doit savoir de quoi il parle.
Je reçois de plus en plus de demande pour les programme de prévention dans plusieurs endroits ; Cité Kennedy, Flacq, Mangalkhan, Barkly, Beau-Bassin, Case Noyale, Chamarel, Grand-Baie, Cassis, Vacoas, Pailles, Mahébourg, Souillac, pour ne citer que cela.

  1. Traitements et Réhabilitation

L’arrêt de la méthadone (induction) : était-ce une bonne décision ?
Il ne faut pas oublier que la méthadone a fait ses preuves.
L’aspect humain :
Tous les usagers de drogue n’ont pas les mêmes besoins, je ne dis pas que le Suboxone n’est pas bon mais peut on imposer un seul médicament a un toxicomane qui désire s’en sortir ? Quand une personne souffre de l’hypertension on ne prescrit pas un seul médicament pour tous ceux qui souffrent de cette malade !
Quand il y a un « declic » chez un usager de la drogue on ne peut pas le faire attendre ou le mettre sur une liste d’attente. En plus c’est a Mahebourg que se trouve le seul lieu d’induction program. IL N’Y A PAS DE PRISE EN CHARGE IMMEDIAT.
Le toximane qui éprouve le désir de s’en sortir doit être accompagné sérieusement avant, pendant et après son parcours.
La réinsertion
Est-ce que la loi permet au gouvernement d’embaucher une personne avec un casier judiciaire ?
Dans le secteur privé : sans certificat de moralité un ancien toxicomane sera il accepté ?
Si un ancien toxicomane veut faire son propre business ‘Self-employed’ aura-t-il la confiance des gens ?
Les propositions

  1. Rôle des religieux

a  Participation de tous les religieux :
Moi, en tant que religieux, quand je vois la souffrance, le désarroi des familles (vous avez eu l’occasion d’écouter la détresse des parents), je ne peux rester insensible à leurs cris de détresses ? Je fais un appel pour que le corps religieux  (prêtres, imams, pandits et responsables de toutes les religions ) s’engagent dans cette lutte pour dire OUI a la vie et non a la drogue qui detruit notre société et nos familles.
De 2002 a 2004, le programme ‘ Dibout pu nu lendroit’ , sous l’égide du ministère de la Sécurité Sociale, avec Mons. Sam Lauthan comme ministre, nous avons eu le soutien de la NPU-NaTresa et du gouvernement. En 2005, avec la dissolution de la N.P.U, comme je l’ai dit plus haut, nous ne sommes pas restés insensible au cri de détresse des familles, nous avons continué le travail avec le programme Anti-DAVIS. Malheureusement, nous n’avons pu toucher que quelques endroits. Nous avons aussi constaté que les parents devaient aussi être accompagnés et ‘empowered’.
Face au phénomène des drogues synthétiques, chaque O.N.G essaie de répondre à sa façon (« sakenn essai fer so tibout »). Il n’y a pas une action commune. Les O.N.G font un travail magnifique mais par manque de mayens elles se découragent.
L’état n’a t’il pas son rôle à jouer dans cette lutte contre la drogue ?
En 2006, le diocèse de Port-Louis a mis à la disposition du Groupe A de Cassis une maison d’accueil : LacazA. Nous avons constaté que dans la lutte pour aider les toxicomanes à s’en sortir, une catégorie de personnes n’étaient pas prise en considération : les parents. Ils souffraient en silence et souvent se culpabilisaient. Ces parents se repliaient sur eux-mêmes et vivaient une grande solitude.
S.E.L (Solidarité, Epanouissement et Libération) a vu le jour en 2007. Depuis ce groupe donne la parole aux parents des PWVIH (people living with V.I.H) , travailleurs de sexe, usagers des drogues et d’alcool, personnes sous méthadone, détenus et S.D.F. Ils se rencontrent chaque jeudi à lacazA. Les activités: Ecoute (permanence assurée tous les jours à Lacaz A), visites à domicile, dans les hôpitaux et prisons. Ils ont aussi deux week-ends résidentiels dans l’année pour le renforcement des capacités et l’estime de soi.
Faute de moyens nous ne pouvons assurer que deux week ends dans l’année alors que la demande est grande.
Dans le but de faire la prétention auprès des collegiens/nes et des jeunes au travail ou non scolarisés, un autre service a vu le jour en 2007 : CAZADO. Ces derniers se rencontrent chaque lundi. Au programme partages, discussions, débats et jeux. Deux week-ends résidentiels (CADO) dans l’année. Le week-end CADO met l’emphase sur le ‘Capacity Building’, l’estime de Soi, la prévention sur les méfaits des drogues et le VIH.
La aussi, faute de moyens nous ne pouvons qu’assurer que deux week ends dans l’année touchant ainsi une soixantaine de jeunes par week end.
‘Zenfan Beni’ a aussi vu le jour en 2007 également  pour les enfants de 5 à 12 ans issus des familles pauvres des faubourgs de Port-Louis. Ces enfants que nous touchons vivent dans des conditions difficiles, ayant un parent emprisonné, toxicomane ou alcoolique. Les enfants se rencontrent chaque samedi et ont comme activités: le sens de l’accueil et de L’éconte, danse et chants, Jeux, Lecture, Sorties culturelles et récréatives, Un accompagnement individuel est assuré.
Formations dispensées pour ces enfants : Life skills, Valeurs humaines, les bases de politesse
En 2013, je suis nommé curé à Quatre-Bornes. Je pensais que j’allais être plus tranquille sur la question de drogue. Mais hélas ! le problème de la drogue semble me suivre….ce qui me fait dire que la rogue n’épargne aucune région de l’ile Maurice.
Mo ti panse ki la drog pe suiv moi …..
Devant l’ampleur de la situation, j’ai fait appel au Groupe A de Cassis, qui a de  expérience dans ce domaine pour m’aider dans ce combat. Nous avons fait des sessions Anti-DAVIS dans les rues de Quatre Bornes, la ou le trafic se fait a la vue de tout le monde. D’où le programme de prévention «  Mars pu to pei ».
Nous nous sommes inspirés de la fameuse phrase de John Fitzerald Kennedy, président de l’Amérique, assassiné en 1963 : « ne demande pas ce que ton pays peut faire pour toi, demande plutôt ce que tu peux faire pour ton pays. »
A ce jour nous avons touché six lieux différents. La demande est grande mais faute de personnes bien formées, nous sommes dans l’obligation d’avancer prudemment. »
Une maison d’accueil (nou lacaz) sera bientôt ouverte a St Luc Cette maison portera le nom de Teddy None, un grand travailleur social décédé en 2006 qui a laissé des traces dans  le cœur des habitants de résidence Kennedy.  Des activités seront organisées pour marquer cet événement.
La prévention dans les écoles continue. Des causeries et des débats sont engagés dans les groupes et mouvements d’église. A travers nos homélies, nous prêtres, nous essayons de toucher le maximum de personnes.
RECOMMANDATIONS

  1. Traitement
  • Réintroduction de la Méthadone et la continuité du Suboxone.
  • Traitement de proximité (pour les usagers de drogues dans toute l’ile)
  • Traitement IMMEDIAT – par rapport au déclic, a la volonté de s’en sortir.
  1. La Réinsertion

Support des secteurs privés.
Le regard des citoyens (discrimination et stigmatisation). Changer notre regard sur les toxicomanes.. l’addiction est une maladie.

  1. Politique Nationale de Prevention

Trouver qui va coordonner, qui sera responsables, faire des recherches appropriés ; ne pas parler que des drogues mais aussi sur les sujets liés directement à ce fléau – (manque d’estime de Soi et manque de confiance des jeunes, mauvaises décisions – le plaisir facile et le bonheur éphémères)

  1. Au niveau scolaire

Les enseignants doivent être formés pour qu’à leur tour, ils puissent animer des programmes dans leurs écoles respectives bien sûr épaulé par les ONG.
Vu la demande croissante de prévention dans les différents régions, je demande toujours l’aide du Groupe A de Cassis, mais je réalise que le Groupe A ne pourra répondre a tous ces appels d’où la décision de mettre sur pieds un programme de Formation des formateurs appelés : « Les Envoyés ». C’est un programme d’une durée de 12 semaines incluant un week-end résidentiel. Ce programme a pour but de former 72 personnes dans un premier temps pour répondre aux nombreuses demandes. Cette formation debutera le 11 Novembre 2016 pour se terminer en Mars 2017.
CONCLUSION

  • Il est primordial de faire un plan d’ensemble soutenu par le gouvernement. Ce plan doit inclure des représentants de différents ministères, des représentants des corps religieux, des O.N.G. Notre ile Maurice traverse des moments difficiles. l’heure est grave. Il nous faut travailler ensemble car c’est dans l’unité que nous allons gagner cette bataille.

Commentaires

  1. Bill a écrit

    22 octobre 2016 à 15:09

    Un grand combat.Maid il faut que Le government apporte son soutien

    Répondre
  2. Maria COULON a écrit

    26 octobre 2016 à 13:59

    La phrase de ce médecin «it’s only the tip of the iceberg» révèle l’ampleur du dégât. Je mets au défi quelqu’un qui dira le contraire de tout ce qui a été dit par le Père Mongelard. Dans tous les institutions scolaires, aux primaires jusqu’aux tertiaires les enfants sont exposés a la drogue. Je fais La catéchèse avec les enfants du primaire, je constate qu’ils sont exposés à la drogue par les parents qui en consommes, autre fait réel, par la transition du primaire au secondaire l’ adolescent est exposé au tentation de la drogue, même s’il ne veut pas en prendre, c’est devenu comme un jeu, ils ne fait que coulés quelques comprimés synthétique dans une boisson et l’enfant est prit au piège. Et les tertiaires et autres institutions, eux consommes et le font pour le plaisir partagé. Aujourd’hui le pire c’est que toutes les communautés sont atteintes, fille et garçons.

    Et vous, les parents, ne poussez pas vos enfants à la colère, mais élevez-les en leur donnant une éducation et des avertissements inspirés par le Seigneur.(St Paul aux Ephésiens 6,4)
    La catéchèse n’est pas reconnue dans toutes les écoles, c’est dommage parce que je vois que nous sommes un partenaire qui peut apporter sa contribution pleinement dans la société. La Foi Catholique n’est plus la pour forcer quelqu’un à se convertir mais peut aider a «un vivre ensemble, a un bien-être communautaire».Que le gouvernement entende notre voix pour qu’un jour nos enfants puisse contribuer a l’économie de demain alors que la population de nos ainés augmente. C’est une espérance pour tous.

    Répondre

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