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Père Arthé  :« La Résurrection de Jésus : le plus grand signe de la miséricorde du Père »

25/03
2016
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pere artheDans l’entretien qu’il a accordé à La Vie Catholique, le Père Henri Arthé, Supérieur des Spiritains à Maurice, fait ressortir que la vie du Christ ressuscité circule en nous depuis notre baptême. Il suffit d’en prendre conscience pour que ce germe de vie atteigne son apothéose en nous. Rencontre.Comment définissez-vous la résurrection ?

La Résurrection, c’est une ouverture à Dieu, à l’amour, à la vie, à la grâce, et aussi une ouverture à l’autre. La Résurrection, c’est ce passage qui donne accès à cette immensité de Dieu qui nous habite et qui habite toute la création. La Résurrection nous projette dans des dimensions divines : la perfection de l’amour absolu, l’éternité.

Elle transforme l’homme et toute la création. À chaque fois que l’homme se relève et se remet debout dans sa pleine dignité, avec toutes ses
potentialités, c’est la Résurrection qui se déploie dans toute son humanité. La Résurrection ouvre l’homme à une grande potentialité de vie, d’amour, de communication, de relation.

À chaque fête de Pâques, il est essentiel pour nous, chrétiens, de nous rappeler que le Christ Ressuscité vient nous arracher de notre égoïsme, de notre maladie, de nos enfermements, de toutes sortes d’exclusions et de discriminations pour nous donner la vie en plénitude.

Toute cette belle action se manifeste à travers l’Esprit-Saint, celui qui a ressuscité Jésus. Doit-on comprendre que c’est la même force de l’Esprit qui nous habite ?

C’est l’Esprit-Saint (l’Esprit de Dieu) qui est donné à Jésus et qui le ressuscite. Et c’est ce même Esprit que Jésus nous donne, qui nous fait vivre en ressuscités. Dans sa grande souveraineté, le Père a donné Son Esprit pour retirer Son fils Jésus du tombeau. Le Père l’a relevé d’entre les morts. Jésus a accueilli sa résurrection comme un don du Père. Ce que Jésus a reçu de son Père, il nous le communique. Il sait que nous avons besoin de l’Esprit-Saint pour déployer cette potentialité de vie que Dieu a placée en nous. Cela sous-entend notre réceptivité. Saint Paul (Romains 8, 11) nous dit : « Si l’Esprit de celui qui a ressuscité Jésus d’entre les morts habite en vous, celui qui a ressuscité Jésus d’entre les morts donnera aussi la vie à vos corps mortels par son Esprit qui habite en vous. »

Pour prendre part à la Résurrection, Jésus est passé par la mort. Est-ce le même chemin pour nous ?

La mort est la porte, voire le passage, qui nous mène à la Résurrection. Pour prendre part à la Résurrection, Jésus a traversé la porte de la mort. Ce faisant, il nous prend avec lui. La mort ne devient qu’une porte, qu’un passage. Elle devient le moment où la transformation se fait. Il faut
mourir pour vivre. La mort permet à ces germes de vie qui sont en nous d’éclater, de s’épanouir afin de pouvoir prendre part à la vraie vie en abondance, celle que nous promet le Seigneur. Pour nous chrétiens, la mort et la résurrection sont indissociables. Elles sont toutes deux au
cœur de notre vie, au cœur de notre foi. Saint Paul (1 Co. 15, 14) nous dit : « Si le Christ n’est pas ressuscité, notre message est sans objet et votre foi
est sans objet. »

Ce qui explique que derrière la Résurrection, il y a une grande joie qui nous attend…

Oui, une joie profonde qui a tenu dans l’épreuve de la mort et qui a traversé la mort. Une joie habitée par la paix, ce grand cadeau que nous donne le Christ ressuscité. Dans les Béatitudes, de l’Évangile de Matthieu 5 (1-12), le Christ promet aux miséricordieux le bonheur. Il nous invite à être miséricordieux afin que nous puissions accéder à cette vie de bonheur en plénitude que Dieu nous propose. Cette joie nous pousse à être témoins.

Notre joie devient alors rayonnement, devient Alléluia !!! Chaque personne est ainsi comme une expression de louange à ce Dieu qui nous
invite à faire ce passage. Les œuvres de la miséricorde au cours de cette Année de la Miséricorde peuvent nous aider à goûter à cette joie divine.

Et quel est le plus grand signe de miséricorde ?

Le plus grand signe, c’est la Résurrection de Jésus. La miséricorde de Dieu permet à Jésus de passer de la mort à la Résurrection. Nous bénéficions
pleinement de la miséricorde de Dieu quand Jésus est ressuscité des morts. Dieu, dans Sa grande miséricorde, vient aussi nous retirer de toutes les formes de mort dans notre vie, de tout ce qui nous retient et nous empêche d’atteindre la vie, de tout ce qui nous prive de notre dignité. Sur la croix, Jésus manifeste la même miséricorde pour nous. Il fait de sa mort un don de sa vie pour que nous ayons la vie en abondance. La miséricorde nous donne cette liberté d’entrer dans la Résurrection qui est l’ultime de la vie ou alors de la refuser.

 Ce qui signifie que l’on peut déjà goûter à la Résurrection ici-bas ?

Le baptême nous a plongés dans la mort et la Résurrection de Jésus. Une croissance qui se déploie dans notre humanité, nos relations avec
les autres, notre travail, le regard que nous portons sur nous-mêmes et sur le monde. Nous entrons dans cette vie de ressuscité progressivement. L’espérance y est nécessaire. Ne plus entretenir l’espérance nous pousse au découragement, le plus grand péché de l’homme. Les lectures de la célébration de Pâques nous permettent d’entretenir cette espérance dans le but de vivre la Résurrection qui se déploie progressivement en nous.

Ce qui explique la grande importance de la fête de Pâques…

Pâques est une fête qui ravive l’espérance en nous. Célébrer Pâques chaque année, c’est nourrir et entretenir cette espérance : en réécoutant le récit de la Passion et de la Résurrection ; en priant et célébrant ensemble ; en rendant grâce ensemble ; en partageant nos joies et nos épreuves. Autant de moyens pour entretenir vivante notre espérance et anticiper à vivre comme des ressuscités dans notre relation avec nos frères et sœurs. Et ce, au cœur même de nos souffrances, maladies, échecs, solitudes, incompréhensions et tensions.

Doit-on comprendre qu’avec la Résurrection, il n’y a plus la notion d’espace et de temps…

Notre corps est constitué d’éléments de la matière terrestre qui nous retiennent dans l’espace et dans le temps. À cette matière, Dieu y ajoute son souffle de vie. C’est notre corps terrestre qui nous enracine dans une culture, une histoire, un cadre composé de temps et d’espace. Notre condition humaine nous limite.

Mais le souffle de Dieu en nous, qui est aussi la présence de Dieu, est un pur Esprit qui nous donne cette possibilité d’accéder à la Résurrection. La Résurrection irrigue, pénètre toute cette partie qui est matière en nous pour nous faire transcender toute notion de temps et d’espace. Elle nous élève et nous projette dans l’éternité de Dieu. Elle nous ouvre dans une relation universelle où nous serons tous enfants de Dieu. Avec la Résurrection, nous ne serons plus liés par notre condition sociale : couleur, race, langage, sexe, etc. Il n’y aura plus d’injustices, de cris et de pleurs. Nous serons tous égaux. Ce sera la grande réconciliation humaine et aussi celle avec toute la création. Nous entrerons dans une grande fraternité universelle où l’amitié et l’amour des uns pour les autres trouveront leur apothéose.

La Résurrection, c’est aussi la transformation du corps du Christ en un corps glorieux…

Le corps du Christ Ressuscité est glorieux parce qu’il a atteint le sommet de l’amour. Ce n’est que l’amour dans son état le plus pur qui peut transformer notre corps pour le rendre glorieux. Devant une profusion d’amour pur, le mal s’éloigne. Le corps du Christ est glorieux parce qu’il rayonne d’amour.

Propos recueillis par Sandra Rousseau

Au quotidien…

Les signes du Christ ressuscité dans notre vie

Le Père Henri Arthé poursuit son entretien en nous invitant à reconnaître le Christ ressuscité dans notre vie quotidienne. Il nous donne aussi les raisons qui nous en éloignent. Et précise que le doute peut nous aider à transformer notre foi en une foi intelligente et libre. Lsoleil qui nous éclaire et nous réchauffe chaque matin est signe du Christ ressuscité dans notre vie. On le rencontre dans l’eau que nous buvons et qui nous apporte la vie. Dans la fleur que nous contemplons et qui nous arrache de nous-mêmes et nous renvoie au Créateur et nous fait revoir notre rapport avec la nature et la Création.

Sommes-nous assez reconnaissants pour tout ce que Dieu met à notre disposition ?, s’interroge le prêtre. Le Christ Ressuscité vient aussi nous rencontrer à travers nos frères et sœurs : leur amitié, leur bienveillance, leur compréhension, leur pardon, leur accueil, leur service, leur reconnaissance, et leur aide.

Autant de signes du Christ Ressuscité dans notre vie. Dans le Christ Ressuscité, il y a aussi le Christ crucifié.  Nos frères et sœurs blessés par la vie nous rappellent le crucifié, car les plus fragiles, les plus pauvres, les plus exclus sont encore plus le reflet de Dieu qui a traversé la mort.

Nous rencontrons le Christ Ressuscité à travers la Parole de Dieu qui donne une cohérence à notre vie et détruit le dieu qui est le fruit notre propre imagination. La Parole de Dieu vient nous dire que le Christ est mort et ressuscité et désormais, nous ne mourrons plus.

  • Ce qui nous freine…

Toutefois, il y a bien des choses qui nous empêchent de voir le Christ ressuscité dans notre vie. Cela nous arrive à chaque fois que nous nous replions et renfermons sur nous-mêmes, que nous croyons que nous avons des solutions à tous nos problèmes, que nous possédons une intelligence inégalable, que nous pouvons développer le monde par nos propres moyens, que nous pouvons inventer un monde nouveau avec notre propre intelligence.

Aussi à chaque fois que nous nous auto-glorifions, que notre suffisance exclut les autres et Dieu de notre existence. À chaque fois que nous nous protégeons par nos propres moyens et refusons de nous ouvrir à l’amour, nous construisons notre propre tombeau. Un tombeau fermé à l’ange
de la vie. Ainsi, nous nous endormons définitivement dans notre propre mort.

  • Le doute et le dialogue

Le Père Arthé  souligne que le doute est nécessaire à la maturité de la foi. Il prend l’exemple de la rencontre de Thomas avec le Christ ressuscité pour dire que la démarche de Thomas se situe dans une démarche progressive de la foi. Dieu n’attend pas que nous placions notre confiance, bêtement, aveuglément en Lui.

Il est tellement miséricordieux qu’Il croit dans notre capacité à réfléchir, à raisonner. Il nous donne la possibilité de poser des questions, d’entrer en dialogue avec lui. Pour pouvoir faire confiance, il est important d’entrer en dialogue. Le doute ne devient donc pas un péché. Il est vital à la confiance. Notre maturité humaine est un état qui plaît à Dieu.

Le Père Arthé reprend l’exclamation de Thomas : « Mon Seigneur et mon Dieu ! » devant le Christ ressuscité pour dire que c’est un cri humain.
Dieu s’est fait homme pour comprendre le cri de l’être humain, conclut-il.

Sandra Rousseau

Tante Valérie Arthé, 93 ans : Une vie animée par la force de l’Esprit-Saint

Le Christ ressuscité a une grande place dans sa vie. Chaque jour, Valérie Arthé, 93 ans, le rencontre à travers la Parole de Dieu, sa nourriture quotidienne qui lui donne la force nécessaire pour sa journée. Rencontre. Le Puissant fait pour moi des merveilles. » Phrase forte que tante Valérie récite chaque jour dans sa prière du Magnificat. Très lucide, elle reconnaît la grâce du Seigneur dans sa vie et vit dans un grand abandon au Seigneur. Le mot acceptation revient souvent sur ses lèvres. À cet âge, elle vit une offrande constante de sa vie à Dieu. Son refrain habituel : « Merci Seigneur Jésus ! »

Chez elle, à Eau-Coulée, tante Valérie est entourée d’amour. Dans une grande cour, avec plusieurs maisons, cette mère de six garçons et de trois filles, est une femme heureuse car elle habite avec sa fille May-Anne, infirmière, qui prend grand soin de sa mère. Sa belle-fille, Françoise, est toujours là pour offrir son aide et Siméon, son fils, qui s’occupe de chaque détail des besoins personnels de sa mère.En ce Lundi Saint, son visage s’illumine quand elle voit arriver son fils Henri. « Se enn gran kado, enn gran lagras ki Bondie finn donn moi : enn garson pret ki kapav servi legliz. Mo pa fini dir mersi Bondie. » 

 Dialogue avec Dieu

Assise dans son fauteuil, elle dégage douceur et sérénité. Sa vie est devenue prière : prière dans ses gestes, et aussi prière avec ses amies, sœurs et membres de la famille. La Vierge Marie a une grande place dans sa vie. Comme Marie a souffert dans son cœur, tante Valérie lui demande la grâce de pouvoir accepter elle aussi ses souffrances :
« Aide-moi maman Marie, aide-moi. »

Sa prière est aussi un dialogue avec Dieu. Lui confier sa journée, la vie de ses enfants et petits-enfants. « Ma force vient du Seigneur », dit-elle avec foi. Une force qui lui permet de faire une petite marche dans la cour.  Si les visites sont nombreuses chez elle, tante Valérie sait aussi rendre visite.
« Elle vient nous voir 10 fois par jour. Elle se soucie de prendre les nouvelles de mes enfants », précise Françoise. Au cours de notre conversation, elle s’exclame avec une grande joie quand elle voit arriver Elda, sa belle-sœur : « Ayo !!! Regard mo belser ki arive-la. » Elle est contente, car aujourd’hui, en ce Lundi Saint, la prière va être très animée chez elle.  « Mo demann Zezi lagras pou ki mo kapav akey tou mo bann zami. » C’est avec le plus grand plaisir qu’elle leur préparera un thé. Chose qu’elle fait chaque jour pour ses deux sœurs Marie-France, 94 ans, qui habite chez elle, et Rosemay, 84 ans, qui habite à l’arrière.

 L’essentiel d’une vie

Tante Valérie prépare son cœur pour célébrer Pâques. Elle regrette de ne pouvoir assister à la messe, mais remercie la personne qui viendra lui partager l’eucharistie, et ce, chaque dimanche matin.En cette fête de Pâques, tante Valérie sera contente de déguster un « curry de poulet avec
des petits pois »
avec sa grande famille, et surtout, partager un bon moment ensemble. À cet âge, c’est la présence de ses enfants qui prime. Tante Valérie nous ramène à l’essentiel d’une vie : amour, affection,  tendresse.« Ma mère me réapprend la tendresse », conclut le Père Henri Arthé qui a en ce moment une attention particulière pour sa mère.

Sandra Rousseau

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