Le Diocèse de Port-Louis

L'Eglise Catholique à Maurice

  • Le Diocèse
    • L’Évêque
    • L’Evêché
    • Les Prêtres
    • Les Paroisses
    • Les Congrégations
    • Les Missionnaires Mauriciens à l’Étranger
  • Éducation
    • Mission et Projet
    • Le Service Diocésain de l’Éducation Catholique (SDEC)
    • Critères d’Admission
    • Ecoles Primaires
    • Collèges Secondaires
    • Écoles Techniques
    • Education informelle
    • Le Financement
    • Histoire de l’Église dans le domaine éducatif
  • Famille
    • Formation pour couples
    • Accompagnement de couples mariés
    • Accompagnement de couples avec enfants
  • Jeunes
    • Mouvements de formation pour jeunes
    • Jeunes au service de l’eglise
    • Préparation à la vie adulte
  • Pauvres
    • Crèches et foyers
    • Caritas Ile Maurice
    • Aide au logement
    • Aide à l’éducation
    • Accueil du pauvre
  • Spiritualité
    • Unité des chrétiens
    • Dialogue entre culture et foi
    • Dialogue interreligieux
    • Prière
    • Spiritualité active
    • Apostolat des malades
  • Justice Sociale
    • Monde du travail
    • Questions sociales
    • Prisonniers
    • Drogues / prostitution / SIDA
    • Tourisme
    • Services médicaux
    • Gens de la mer
  • Formation
    • Formation des laïcs
    • Catéchèse et catéchuménat
    • Vocations sacerdotales
    • Dialogue Interreligieux
    • Formation liturgique
  • Communication
    • Publications Catholiques
    • Les Médias Diocésains
  • Historique
    • L’Église à Maurice
    • L’Église à Agaléga
    • Les Grandes Figures de l’Église
Vous êtes ici : Accueil / Interviews / Père Cabrera : « On ne peut pas être croyant sans être écologique »

Père Cabrera : « On ne peut pas être croyant sans être écologique »

19/02
2016
Laisser un commentaire »

IMG_3119La semaine dernière, le pays a, une nouvelle fois, connu de fortes averses ayant occasionné des inondations dans plusieurs localités. S’il n’y a pas eu mort d’homme, plusieurs familles ont souffert et souffrent. Pourquoi la nature se fâche-t-elle ainsi ? Qui sont les responsables ? Et Dieu dans tout cela…. Comment apporter sa pierre pour limiter les dégâts ? Qui sont ceux qui œuvrent ? Le dossier de La Vie Catholique de cette semaine essaie humblement d’apporter quelques réponses à ces questions.

Salésien de don Bosco, professeur de théologie et militant écologique, le Père Heriberto Cabrera nous parle de la Création de Dieu et de notre responsabilité envers ce monde qu’Il nous a offert en cadeau.

La sauvegarde la planète, la promotion des pensées et des attitudes écologiques, la lutte contre le gaspillage, le dérèglement climatique… Ce sont autant de sujets très d’actualité aujourd’hui. La planète se porte donc si mal ?

Oui elle se porte bien mal, il suffit de porter un regard à l’environnement qui nous entoure, mais aussi à la pauvreté et aux inégalités sociales. Les chiffres confirment la gravité de la situation. Par exemple : selon les satellites, 15 000 km² de forêts amazoniennes sont détruits chaque année ; la banquise a perdu 40% de son épaisseur en 40 ans ; les trois quarts des ressources de la pêche sont épuisés, en déclin ou à la limite de l’être ; les
espèces s’éteignent à un rythme 1 000 fois supérieur au rythme normal. Si cela ne vous semble pas extrêmement grave, je ne saurais pas quoi vous dire.

Mais le problème n’est pas seulement par rapport aux ressources ou la biodiversité. C’est l’homme qui est directement la victime de cette crise, par exemple : un homme sur six ne possède pas d’habitation ; un sur cinq est mal nourri ; un homme sur quatre ne dispose pas d’eau potable ; il pourrait y avoir 200 millions de réfugiés climatiques en 2050. Je crois que personne ne peut nier aujourd’hui la  gravité de notre situation et pourtant, nous avons du mal à réagir ou nos réactions sont insignifiantes par rapport à l’immensité du problème.

Nous avons coupé les liens avec la nature et nous avons très peu à espérer de nos autorités politiques (nationales et mondiales). C’est la société civile qui doit prendre en charge ce que les intérêts économiques bloquent. Le pape François le dit si bien : « La faiblesse de la réaction politique internationale est frappante. La soumission de la politique à la technologie et aux finances se révèle dans l’échec des Sommets mondiaux sur l’environnement. »

 « Le mauvais traitement abusif de notre planète, est un péché aux yeux de Dieu », peut-on lire dans le texte commun du pape François et du patriarche œcuménique de Constantinople, Bartholomée, signé en mai 2015. En quoi est-ce que ne pas
prendre soin de la planète est un péché ?

Un péché est toute action mauvaise, faite de manière volontaire, par un être humain. Le Catéchisme de l’Église Catholique au n° 1849 dit que : « Le péché est une faute contre la raison, la vérité, la conscience droite, il est un manquement à l’amour véritable, envers Dieu et envers le prochain, à cause d’un attachement pervers à certains biens. Il blesse la nature de l’homme et porte atteinte à la solidarité humaine. II a été défini comme une parole, un acte ou un désir contraire à la loi éternelle. » Alors le péché consiste à ce manque d’amour envers un bien qui nous a été confié pour en prendre soin. En fait, l’homme a été placé au milieu du jardin de l’Eden avec une mission « le cultiver et le garder » (Gen 2,15),
son rôle est clairement la gérance de la Création, qu’il doit faire tendre vers l’harmonie et l’abondance. Dans le deuxième récit de la Création, celui qu’on appelle de tradition Yahviste (Gen 2), l’homme, bien que lié à la terre par son nom d’Adam, est invité par Dieu à nommer chacun des animaux en sa présence (Gen 2,19-20). En nommant, l’homme devient responsable devant Dieu de la Création.

Le péché contre la Création casse le lien évident qu’il y a entre l’environnement et les êtres humains. Mais il est aussi un manque de solidarité envers les générations futures. Au fond de ce péché il y a l’égoïsme, l’individualisme, la culture de l’immédiat, la recherche du profit à tout prix, mais aussi l’indifférence. Ce sont des choses extrêmement graves.

Le patriarche Bartholomée disait dans un discours qu’il a fait à Santa Barbara, en Californie en 1997, que «  un crime contre la nature est un crime contre nous-mêmes et un péché contre Dieu ». Selon le pape François, la source de cette crise se trouve dans le fait que nous nous croyons propriétaires du monde ; nous avons un comportement irresponsable ; nous avons oublié que l’homme ne se crée pas par lui-même.

Justement, l’écologie est un sujet très important pour le pape François. Il a d’ailleurs rédigé l’encyclique « Laudato si – Loué sois-tu ». Quel est le message essentiel que le pape a souhaité faire passer à travers ce document ?

Le Saint Père, dans son encyclique, fait à la fois une réflexion joyeuse et dramatique par rapport à l’écologie.Il y a plusieurs messages dans ce document. Avant tout, je voudrais en signaler l’originalité : la crise écologique a une racine spirituelle ! En fait, le pape nous signale avec justesse que la crise écologique est un problème anthropologique (relation avec la nature et nos frères/sœurs humains qui a été brisée), mais aussi un problème théologique (la relation avec le Créateur qui a été brisée). Le pape nous parle aussi d’une écologie intégrale, pas dans le sens du radicalisme écologique, mais dans le sens d’attention à toutes les interconnexions horizontales et verticales que le concept d’écologie éveille. Il nous dira qu’il nous faut une conversion au Créateur. Dans ce sens, les actes écologiques prennent leur signification en ligne de la conversion. Un thème extrêmement pertinent pour ce Carême.

Pour sauvegarder la Création, il faut des actions venant des grandes puissances, des nations, mais aussi la contribution du citoyen lambda. Comment notre foi chrétienne peut-elle être une « motivation » supplémentaire pour tout un chacun en faveur de la protection de l’environnement ?

La protection ou la sensibilité écologique, autrement dit, un mode de vie respectueux et en harmonie avec l’environnement, ne devraient pas être des choses que l’on a besoin de motiver, c’est une question d’humanité et de bon sens. Sans cette humanité et ce bon sens, nous ne pourrons jamais être de vrais hommes ou femmes, encore moins des hommes ou femmes religieux ou croyants.

C’est aussi vrai que la foi porte un regard particulier et donne un sens transcendant à la question écologique. Autrement dit, la foi nous rappelle que nous sommes tous des frères et sœurs, non seulement parce que nous vivons sur la même planète, mais parce que dans le dessein de Dieu, nous sommes ses enfants, avec une même dignité. C’est l’originalité du christianisme. Cette valeur profonde, cette dignité humaine que nous portons tous et que malheureusement aujourd’hui, nous avons oubliée. Il suffit de penser à toute la pauvreté et aux injustices qui nous entourent. La solidarité entre les êtres humains et les générations futures n’est pas simplement un appel simplement humain, mais aussi divin.

Le christianisme croit que la nature a été confiée à l’homme pour qu’il en prenne soin. Mais nous avons aussi une responsabilité envers les autres êtres humains. Si on coupe le lien avec la nature et les êtres humains, on ne peut pas vraiment avoir un lien avec le Créateur. Comment aimer celui qu’on ne voit pas (Dieu), si on n’aime pas celui qu’on voit (la Création et les personnes) ?

Revenons à la question, il ne s’agit pas de voir la religion comme une motivation en plus, il s’agit tout simplement qu’on ne peut pas se concevoir croyant sans un lien fort avec l’environnement et les autres, autrement dit, un croyant qui n’est pas écologique ni engagé contre les inégalités sociales, n’est pas un vrai croyant tout simplement. Au mieux, il a une foi amputée, malade… il vit un christianisme d’illusion. Évidemment, cet engagement prend des formes différentes selon l’âge et la condition sociale…

Le souci de l’environnement et des pauvres, n’est pas optionnel. On ne peut pas être croyant sans être écologique, et je le dis dans ce sens intégral dont parle le pape : prendre soin de la nature, des animaux, c’est aussi prendre soin des pauvres et des générations futures.

Décider d’adopter un style de vie plus « eco-friendly », ou militer pour le sauvegarde de l’environnement, est-ce que cela peut aussi être une démarche de Carême ? 

Je viens de le dire, ce n’est pas une question d’un temps, de 40 jours, mais de toute une vie. Eco-friendly, comme vous dites, ne doit pas être une démarche limitée pour un temps précis, c’est une nouvelle manière de vivre que nous devons adopter. C’est vraiment une conversion
à 180° que nous devons faire. Je le dis bien fort : ce n’est pas un jeu, c’est une chose d’une extrême gravité. C’est n’est pas un « peut-être » ou un « je vais y réfléchir », on n’a pas le choix, tu ne peux plus être un catholique « vrai » sans être en lien profond avec l’environnement, point !

Bien-sûr, il y a une conversion écologique à faire. Dans ce sens, le Carême peut avoir un caractère écologique plus fort, notamment par notre engagement pour la protection de l’environnement, mais aussi par la lutte contre les exclusions, encore mieux, les sources d’exclusion. Cela correspond à une écologie intégrale. Mais une sensibilité, un engagement en plus sont insuffisants, nous devons changer notre manière de vivre !

L’écologie n’est pas un thème en plus, c’est une manière différente de vivre et de concevoir nos rapports avec les autres, avec Dieu, avec soi-même et avec l’univers : avec amour et respect. En ce Carême, l’écologie est un appel à une profonde conversion intérieure. Nous devons inviter l’homme à ne pas s’autodétruire. Je pense au changement de logique : d’une conception d’un environnement à exploiter, à un environnement à recevoir. Il faut
se rappeler que nous avons une responsabilité sociale en tant que consommateurs, acheter est toujours un acte moral, dira le pape François. Je suis profondément convaincu que nous devons vivre plus simplement et je sais que cela n’est pas à la mode.

La conversion suppose diverses attitudes, comme la gratitude et la gratuité, « la conscience amoureuse de ne pas être déconnecté des autres créatures », comme dit le pape François. Enfin, la conscience que chaque créature reflète quelque chose de Dieu.

Christopher Sainte-Marie

Sensibilisation – Démocratiser la conscience verte

Nos gestes au quotidien déterminent la nature de demain. Bruno Carta, scientifique spécialisé dans le domaine environnemental, nous explique les enjeux face à une nature de plus en plus violent et notre part de responsabilité en tant que citoyens. La population tend vers une conscience plus responsable concernant le respect de la Nature. Cependant le degré de cette prise de conscience peut être différent selon les pays, en fonction du
système éducatif, de la législation et de son application, des mesures incitatives, de la culture, de l’histoire, du niveau de développement et d’autres paramètres. La Nature tend vers un équilibre, une harmonie et l’être humain perturbe la fragilité des écosystèmes d’une manière de plus en plus accrue en pensant que c’est son droit. Les conséquences de cette attitude ont une inertie très longue et en attendant que l’équilibre soit rétabli, oui, les phénomènes extrêmes seront plus fréquents et plus accentués. D’autant plus que l’hypothèse d’un équilibre de nouveau instauré n’est valable qu’à condition de changer drastiquement nos habitudes de consommation. Les ressources naturelles nous sont données à tous en abondance, alors pourquoi les gaspiller et ne pas les partager ? Au nom de qui ? Les catastrophes écologiques touchent en premier lieu les populations les plus pauvres. Finalement, n’est-ce pas cet aspect qui pourrait rendre prioritaires nos décisions discernées d’entraide ?

En ce qui concerne Maurice, le changement climatique se mesure à l’échelle planétaire et non de manière locale. Les citoyens et, en particulier les dirigeants des pays dits développés, sont en grande partie responsables, en ayant cru trop longtemps que les ressources étaient inépuisables.

Aujourd’hui encore, les dirigeants ont beaucoup de difficultés à se mettre d’accord pour prendre des décisions ; ils sont tiraillés entre des aspects environnementaux, économiques et sociaux, sans compter les lobbyings des grands industriels internationaux jouant sur un échiquier mondialisé. Et la COP 21 de Paris 2015 l’a encore démontré. Nous ne vivons plus au temps de la cueillette et de la chasse. Où est la place de l’Homme aujourd’hui ?

Le retard de Maurice au niveau environnemental est relatif. Tout dépend du pays de référence que vous prenez. Maurice est en avance sur beaucoup d’autres pays, notamment sur le continent africain. Par contre, des exemples sont à prendre parmi les pays qui ont fait du respect de l’Environnement leur priorité. Toutefois, il n’y a pas de solutions à 100 % environnementales, il s’agit de trouver un compromis adapté à chaque situation.

La surconsommation est un fléau dans la mesure où le gaspillage, l’obsolescence programmée et le souci de confort régissent notre vie quotidienne. Les pays en développement comme Maurice accordent trop d’importance à la classe sociale : la plus grosse voiture, la plus belle maison, le dernier modèle de téléphone sont au cœur des préoccupations, car le regard des autres et donc leur jugement devient prioritaire. Le choix d’une vie simple, sans excès, en se tournant vers l’essentiel, sous le regard de Dieu, devrait être plus répandu à Maurice et dans le monde.

En matière d’énergie verte et d’utilisation de technologies respectueuses de l’Environnement, il s’agit simplement de transferts de technologie. On n’invente rien. Il suffit d’adapter ce qui existe déjà à un contexte insulaire, tropical et volcanique. Cela correspond à la finalité d’une démarche longue dans le temps. Je pense que Maurice est sur la bonne voie, même si nous voudrions que les choses avancent plus vite. La lente prise de conscience, la fragile volonté politique, la puissance inconditionnelle des lobbyings, la recherche systématique d’un intérêt personnel sont autant de facteurs qui peuvent freiner le développement ici.

Les pays les plus avancés au niveau environnemental ont amorcé leur mouvement vers les technologies dites vertes en incitant les compagnies et les particuliers à investir grâce à des subventions, des détaxations, des promotions afin de les rendre plus accessibles, puisque chacun regarde son porte-monnaie avant tout. C’est en tout cas une des raisons pour lesquelles des pays sont à ce jour bien équipés. Le mot-clé, à mon sens, est la « démocratisation » de l’accès, non seulement aux  technologies, mais aussi au savoir.

CSM

Protection de l’environnement – Des ONG pour Dame Nature

Nombreuses sont les organisations à se dévouer pour la nature et ainsi nous sensibiliser et nous responsabiliser quant à notre impact sur la nature. Survol de quelques ONG présentes à Maurice.

Mission Verte

Créée en 2007, Mission Verte, qui compte plus de 200 membres, veut sensibiliser la population à la nécessité de réduire, réutiliser et recycler ses déchets. Ainsi une trentaine de dépôts ont été disposés à travers l’île (notamment à Beau-Bassin, Beau-Plan, Curepipe, Phœnix, Moka, Mahébourg, St-Antoine, Tamarin et Terre-Rouge) pour inciter la population à faire le tri sélectif. Par ailleurs, plus de 10 000 personnes ont déjà bénéficié de sessions de sensibilisation à la protection de l’environnement. L’ONG, en collaboration avec des entreprises du privé, contribue au recyclage de déchets
tels que les piles et huiles usagées, les bouteilles en plastique et en verre, et les batteries de voiture.

Forever Blue

Elle se spécialise dans la sensibilisation et la protection de l’environnement pour conscientiser la population aux merveilles que l’océan nous offre et à leur préservation. Pour ce faire, Forever Blue fait appel à des biologistes marins qui aident à la réalisation des projets. Cependant, ce n’est qu’en 2009 que l’ONG a commencé un travail de terrain pour éduquer la population à la biodiversité sur l’île d’Ambre. L’ONG travaille aussi avec La Réunion pour répertorier les herbiers marins et les tortues de l’île d’Ambre.  Avec le soutien de Kelonia (observatoire régionale des tortues) Forever Blue a  pu mettre en place un projet conjoint d’éco-management autour de l’île d’Ambre.

 Eco-sud

Basée à Blue-Bay et comptant près de 65 membres, l’ONG s’est inscrite au Registrar of Associations en 2000. Depuis, Eco-Sud milite pour la préservation de l’environnement marin et l’équilibre entre le développement économique et la protection de l’environnement. Eco-Sud a ainsi milité contre des chantiers qui auraient bouleversé l’équilibre même de la nature, par exemple, le projet de construction d’un hôtel sur l’île des Deux
Cocos, la construction d’une autoroute qui aurait traversé la dernière forêt endémique et le projet d’un un incinérateur de déchets. Pour que sa démarche ait un plus grand impact, l’organisation travaille de concert avec les pêcheurs, les skippers et les ministères concernés.

 La « Mauritian Wildlife Foundation »

Cette ONG est peut-être l’une des plus connues, de par ses actions menées contre les espèces en danger et la conservation de la flore et de la faune. La Mauritian Wildlife a fait un gros travail de sensibilisation et de préservation à Maurice et à Rodrigues, s’occupant de plantes, d’oiseaux, de mammifères endémiques. Ainsi grâce à ses efforts, bon nombre d’espèces ont pu être sauvées de l’extinction à l’instar du Pink Pigeon, du Mauritius Kestrel et du Scinque de Telfair (une variété de lézard, Ndlr).

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Contactez-nous

Calendrier des événements

« Mar 2021 » loading...
L M M J V S D
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
16
17
18
19
20
21
22
23
24
25
26
27
28
29
30
31
1
2
3
4
mar 02

Conférence sur les plus beaux édifices religieux de Maurice et de Rodrigues

mars 2 @ 18:30 - 20:00
sam 06

Retraite du Père Grégoire

mars 6 @ 09:00 - mars 7 @ 17:00
dim 07

Sainte-Hélène – Pèlerinage paroissial

mars 7 @ 08:30 - 17:00
mar 09

Tour spirituel

mars 9
mar 16

Tour spirituel

mars 16

Abonnez-vous à notre newsletter

Parole du Jour

  • Lectures du Jour

Lectio Divina

  • Commentaire de Mgr Maurice E. Piat sur l'Evangile du dernier dimanche du mois

Sacrements: Étapes de la Vie

  • Baptême
  • Première Communion et Confirmation
  • Mariage
  • Sacrement des Malades
  • Funérailles

Articles récents

  • Le livret de la Lettre Pastorale disponible en supermarché et librairie
  • Emission de carême du Cardinal Piat – Sortirons-nous meilleurs de la crise?
  • Programme des retraites au Foyer Notre-Dame-de-l’Unité

Commentaires récents

  • Marie France dans Appel décisif des catéchumènes 2021
  • Nathalie COLETTE dans Carême – Méditation quotidienne avec le p. Mongelard
  • Joyceline dans Horaires des messes pour le mercredi des cendres

Catégories

  • Année de la Foi (37)
  • Année de la Miséricorde (23)
  • Autres (270)
  • Carême (10)
  • Communiqués des congrégations religieuses / services / mouvements (198)
  • Conférences (48)
  • Coronavirus (35)
  • Décès (49)
  • Education (118)
  • Eglise et société (194)
  • Evénements diocésains (288)
  • Faire un don pour accueillir le pape François (2)
  • Fêtes religieuses (72)
  • Formation (62)
  • Iles (43)
  • Interreligieux (83)
  • Interviews (99)
  • Jeunes (104)
  • Kleopas (68)
  • Lectio Divina (48)
  • Lettres Pastorales (63)
  • Média (467)
  • Méditation du Cardinal Piat (4)
  • Messe de funérailles (34)
  • Mgr Piat (399)
  • Nominations dans le clergé (75)
  • Oeucuménisme (15)
  • Paroisse (66)
  • Publications (62)
  • Sujets de réflexion (136)
  • Synode (23)
  • Vatican (150)
  • Visite Papale (62)
© par le Diocèse de Port-Louis à Maurice. Liens externes. Charte d'utilisation du site. Ce site a été conçu par Knowledge Seven.