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JIOI – Pour le sport et mon pays !

31/07
2015
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ImpressionÀ J-1 de la 9ème édition des Jeux des Iles de l’océan Indien (JIOI), La Vie Catholique vous propose de rencontrer quelques athlètes qui vont représenter Maurice. Athlétisme, football, handball ou boxe, ils enchaînent des stages d’entraînement intensifs pour être au top niveau. Se donner à fond pour son sport et son pays. De toute cette délégation mauricienne qui se prépare à représenter notre île, il y a ceux qui y vont pour la première fois. LVC a rencontré Jonathan Bardottier, athlète en 400m, ainsi que l’équipe féminine de football et de handball. Zoom…

Cela fait bientôt plus de huit ans qu’il pratique l’athlétisme ; lui c’est Jonathan Bardottier, 23 ans. En effet, c’est sous les encouragements de sa mère qu’il intègre l’école d’athlétisme de Port-Louis. Sans trop de grande conviction, dit-il, parce que pour lui, ce n’était que du sport. « Mais j’avais ce potentiel. Ma mère l’avait vu en moi, et c’est grâce à elle que je continue aujourd’hui », partage-t-il. Ainsi, il s’est entraîné durant toutes ces années dans son club, jusqu’à faire partie des sélectionnés pour différents championnats : Afrique et Afrique australe entre autres, et dans la catégorie cadet quand il était encore plus jeune. Ces participations lui ont apporté l’expérience des grandes compétitions, témoigne-t-il.

Puis arrive l’épisode des JIOI en 2011, où il était parmi les sélectionnés, mais n’a pas pu concourir pour cause de blessure. Une mésaventure qui lui a donné la rage de persévérer. « Je suis content de pouvoir participer cette année… je suis motivé à bloc. Mo anvi al prouv mo valer a momem e a bann lezot, ki mo kapav fer li. Une revanche sur le passé », lance Jonathan. Sa détermination lui vient aussi du fait qu’il a dû, pour des raisons professionnelles, cesser le sport pendant un moment. Mais il est fier qu’il n’ait pas tout abandonné et qu’il puisse maintenant gérer ces deux facettes
de sa vie.

C’est ainsi que depuis quelque temps, il cumule les entraînements chaque jour avec les autres athlètes pour être fin prêt à décrocher la médaille. « J’aspire au podium, bien sûr. C’est toujours une fierté de représenter son pays. Mo pou donn tou pou sa ! », dit-il.

Football féminin – Les meilleures et les plus motivées

Nou pou fer tou pou lev nou drapo pli lao ki posib. Nou bizin kapav », soutient quant à elle,  Anaëlle Rassoie, la capitaine. « Si bizin pou mars lor dife, nou pou donn tou » : expression d’une des Rodriguaises de l’équipe, Anielle Collet. C’est dans cet état d’esprit que les joueuses de l’équipe nationale féminine vont aux JIOI.

En effet, le football féminin est la nouvelle discipline cette année. Elles seront vingt, dont deux Rodriguaises, à faire flotter haut le drapeau mauricien. « Nous partons d’une page blanche pour la construction de cette équipe. Après une détection, nous avons aujourd’hui une équipe avec les meilleures joueuses mais aussi les plus motivées dans ce qu’elles font », partage Alain Happe, l’un de leurs entraîneurs. Ainsi, ces filles ont eu depuis plusieurs mois des entraînements de haut niveau, en passant par un travail intense d’éducation sportive.

De la motivation, en effet, elles en ont. Elles sont toutes fières de représenter Maurice. Et pour cause, elles enchaînent stages et entraînements intensifs chaque jour pour être au top pour les matchs à venir. « C’est souvent très dur et fatigant, mais nous sommes toutes déterminées à aller loin », partage Anastasia Montaigu, une joueuse. « Nous avons de la pression, nous sommes stressées, mais ensemble, on pourra y arriver », précise Marie-Michèle Sadien.

« Elles sont les pionnières. Il y a un manque de référence, mais elles ont fait des progrès. Et nous sommes assez satisfaits de l’évolution de la vie de groupe », souligne Alain Happe.

 Handball – Fières de représenter le pays

C’est aussi la première participation des Mauriciennes en handball cette année, tout comme pour le foot. Pour la plupart d’entre elles, elles pratiquent ce sport dans différents clubs depuis plusieurs années. Elles seront ainsi une équipe de 16 à s’envoler pour l’île de la Réunion bientôt. À raison de deux jours de stage en club et 3 jours avec la sélection, elles sont plus prêtes et motivées que jamais à aller en compétition contre les autres îles. « Il y a beaucoup d’entraînements, mais il faut se donner les moyens d’y arriver. Donc ces efforts sont essentiels », soutient Anaïs Harpon, une des joueuses. « On attend beaucoup de nous. On ressent la pression, mais on va faire face. C’est quand même une grande fierté de pouvoir représenter son pays », partage pour sa part Stéphanie Ramsamy. « Nous sommes plus que motivées et nous espérons au minimum une médaille », souligne Heidi Crouche.

Du côté de leur entraîneur, Yvan herbu, qui en est aussi à sa première expérience en tant que coach, il se dit confiant dans la capacité des filles à atteindre le podium. « Elles travaillent toutes très dur… elles sont mentalement prêtes et il règne un vrai esprit d’équipe. C’est ce qui est important pour la cohésion et pour aller de l’avant », soutient ce dernier.

Nadia Hilaire

 Micro-trottoir

Êtes-vous « sport », et pourquoi ?

Outre les sportifs nationaux, nombreux sont les Mauriciens à pratiquer un sport. En amateur, ou simplement pour garder la forme. Quelle place le sport a-t-il dans votre vie quotidienne ? Pensez-vous qu’il joue un rôle essentiel et que sa pratique est bonne ? Pourquoi ?

Nadia HilaireAnjy Malabar, de Plaine-Magnien : « Cela m’aide à me sentir bien »

« Le sport, surtout le handball, est très important pour moi. Quand j’étais enceinte, je me souviens que c’était vraiment agaçant de ne pas pouvoir toucher au ballon, de faire des sprints ou des ‘un contre un’ avec des adversaires. Dès que le médecin m’a donné le ‘go’, j’ai enfilé mes baskets. Cela m’aide à me libérer et à me sentir bien. Ma vie, c’est mon fils, mon boulot, ma famille, mais quand je suis sur le terrain, je laisse tout au vestiaire et je me donne à fond, pour moi, mes coéquipières et mon équipe. »

Sébastien Sirop, de Saint-Pierre : « Cela me permet de rester en forme »

« Je pratique de basketball au moins deux fois par semaine avec des gens de mon quartier. Le sport est très important parce que cela me permet de rester en forme, de décompresser et surtout de rencontrer des gens, de pouvoir parler et partager avec eux. Oui, c’est un élément essentiel parce qu’à force de faire du sport, une personne se sent mieux dans sa peau et a plus d’énergie pour faire autre chose. Cela l’aide dans son travail aussi. »

Géraldine Barbier, de Notre-Dame : « Le sport est essentiel »

« J’essaie de faire au minimum 30 minutes de sport par jour, soit le matin, soit l’après-midi. C’est surtout pour me garder en forme. Le matin, c’est pour me mettre en mouvement et me préparer pour aller travailler. Et dans l’après-midi, c’est un moyen pour moi de décompresser. Le sport est essentiel parce qu’en individuel, cela aide pour la santé. Alors que le sport collectif aide à maintenir le lien avec les autres, vivre le partage et rencontrer des gens. »

Didier Joseph, de Curepipe : « C’est quelque chose d’important pour moi »

« Je suis un grand sportif. J’aime bien le sport et j’en fais tout le temps. C’est quelque chose d’important pour moi. C’est bon pour ma condition physique, mais aussi pour mon moral. Même si je suis fatigué, je fais des exercices et cela m’aide à me maintenir en forme. Le sport est tout aussi bien un loisir pour moi. »

 Infos pratiques

Pour soutenir et suivre les différentes disciplines lors des Jeux vous pouvez  regarder les chaînes Réunion 1ère et Sports 11. Pour avoir plus de renseignements et la liste des classements, consultez le site officiel des jeux : www.jeuxdesiles2015.re

Quelques détails des JIOI…

Saviez-vous que l’idée des Jeux de l’océan Indien remonte aux années 1950, lorsque quelques Réunionnais avaient eu cette vision pour favoriser « l’amitié, le respect et la fraternité entre les peuples » ? Mais cela a mis plusieurs années avant de se concrétiser. C’est en 1979 donc, que les premiers Jeux sont organisés à l’île de la Réunion avec 1 000 athlètes participant à l’époque. Un chiffre qui a doublé en 2015. Madagascar, les Comores, les Maldives, Mayotte, Maurice, la Réunion et les Seychelles, sont les îles participant à cet évènement sportif.

Cette année, les Jeux se tiennent dans l’île Sœur du 1er au 9 août avec 14 disciplines à l’agenda. Au programme : athlétisme, badminton, basketball, boxe, cyclisme, football, haltérophilie, handball, judo, natation, tennis, tennis de table, voile et volleyball.

Entretien-minute

Questions à Michael Glover…

Quel bilan faites-vous du secteur sportif à Maurice ?

Il me semble difficile de faire un bilan global du sport à Maurice car, de par le rôle qui est le mien, je ne m’occupe que d’une dizaine de disciplines sportives.

Vous qui avez joué un rôle essentiel au développement du secteur du sport à Maurice, parlez-nous de son importance dans la vie quotidienne d’une personne ? 

Tout le monde devrait être conscient des bienfaits du sport. En effet, il est essentiel à l’épanouissement de chaque individu.

Expliquez-nous comment le sport peut être un élément pour l’épanouissement de l’être humain ?

Il y a tant de choses positives associées au sport que sa pratique est une évidence, une nécessité pour le bien-être de tout individu. Le sport encourage la discipline, forge le caractère, apprend le respect d’autrui et la camaraderie.

Il nécessite aussi rigueur, discipline et entraînement. Une rigueur que les jeunes gagneraient à avoir. Comment le sport pourrait-il aider à une jeunesse saine ? 

Si par jeunesse saine, vous entendez sans alcool et sans cigarette, il est évident que le sport est LA solution ! Il appartient aux parents et aux professeurs de sport d’encourager les jeunes à une pratique régulière afin qu’ils puissent mener une vie saine.

Ces rassemblements comme les Jeux Olympiques ou les Jeux des îles déclenchent un grand élan de patriotisme. Quelle est l’importance des manifestations sportives pour un pays ?

Les Jeux des îles ont été un des rares événements capables de rassembler la nation mauricienne.

NH

portrait : Une jeune battante nommée Brandy

Dans toutes les disciplines qui sont au programmes pour les JIOI, le handisport n’est pas mis de côté, et une vingtaine de Mauriciens prendront part.
Parmi, Brandy Perrine, 16 ans, sans doute l’une des plus jeunes, qui sait montrer force de caractère et détermination à atteindre le podium. Rencontre.

En regardant Brandy Perrine, cela saute aux yeux qu’elle est, à son jeune âge, déjà une grande sportive de par sa posture. Cette passion pour le sport, elle l’a découverte à travers le tennis quand elle a fait la rencontre de Véronique Marisson, la présidente de la fédération de handisport. Cette dernière l’a invitée à venir faire du tennis en fauteuil. À tout juste 13 ans, elle accepte et rejoint un club de handisport.

« Au début, c’était difficile parce qu’il fallait que j’apprenne les différentes techniques de jeu… mais je me suis habituée après », partage Brandy. Sa persévérance et sa détermination pour le tennis en fauteuil lui feront participer aux compétitions nationales, et elle sera même championne. Elle représentera aussi Maurice à la Coupe des clubs champions de handisport de l’océan Indien (CCCHOI) en 2014. Son talent et sa performance identifiés, on l’encourage cette fois à s’essayer à l’athlétisme.

Cette fois encore, Brandy, qui est tout de même timide de nature, accepte. Autre challenge pour elle, c’est de pouvoir s’adapter au fauteuil spécialisé pour l’athlétisme. Vu qu’en temps normal elle porte des prothèses pour marcher, elle a dû apprendre à se défaire de celles-ci pour bien prendre l’appui sur le fauteuil. « Monn kontan osi roule. Monn kontan lavitess. Voilà comment j’ai voulu continuer dans cette discipline », précise Brandy.
Ainsi, la jeune fille va s’entraîner régulièrement, elle va donc apprendre les différents techniques de la course, la respiration et surtout savoir diriger son fauteuil.

Toutefois, sa grande lancée dans le sport sera freinée quand Brandy se blesse au bras. Il lui faudra une coupure de deux mois pour se rétablir. « Pendant  ce temps, je n’avais qu’une seule envie, c’est de guérir plus vite et de retourner pour les entraînements », soutient-elle. Une période qui lui a donné encore plus de force pour aller plus loin.

Ainsi, Brandy va enchaîner les entraînements, tels les autres sportifs de haut niveau et elle va même se démarquer lors de l’Italian Open Athletic Championship 2015 en juin dernier. Du coup, elle obtiendra sa qualification pour participer aux Jeux des îles. « Parfois, c’est difficile d’associer sport et études, mais je suis fière que j’ai aussi donné de bons résultats à mes examens scolaires », dit-elle joyeusement. Sélectionnée pour le 1500m fauteuil, Brandy est fière du chemin parcouru jusqu’ici. Elle est contente de pouvoir représenter Maurice. « J’ai envie de me satisfaire, d’améliorer mon chrono, mais surtout de gagner une médaille », confie notre jeune interlocutrice.

Du côté de sa mère Shirley, cette dernière se dit fière de sa fille. Elle est contente que Brandy puisse représen-ter le pays, mais surtout qu’elle s’épanouisse en faisant du sport.  Voilà une jeune fille talentueuse et persévérante, avec un bel avenir en perspective, démontrant que chaque personne peut donner le meilleur de soi-même. Il suffit juste d’être déterminé.

Nadia Hilaire

Ludovic Bactora – Entre force et foi

Attaque, kick, blocage, contre-attaque, contre-offensive : voilà des termes familiers à l’univers de la boxe et qui font le quotidien de Ludovic Bactora, 26 ans, boxeur mauricien qu’on ne présente plus. Voici son portrait.

Quand on le croise dans la rue, personne ne dirait que Ludovic Bactora est un boxeur de niveau national, tant il a une personnalité calme et timide. Un personnage différent de celui qu’on voit battre ses adversaires haut la main lors des compétitions. C’est à l’âge de 8 ans que Ludovic débute la boxe. Une passion, dit-il, qui lui vient de son père, lui-même boxeur. L’enfant de Rose-Belle rejoint alors le club régional de Grand-Port et a comme passe-temps, le foot, le karaté et la boxe.

« C’est à 12 ans que j’ai commencé à apprécier vraiment la boxe », soutient-il. Ainsi, il décide de s’y consacrer plus et s’entraîne pendant trois ans au Rose Belle Boxing Club, avant d’intégrer le Cadet Junior National à l’âge de 15 ans.

De là, sa performance se fera remarquer et il commence à s’entraîner pour des compétions de niveau national. Il fera aussi des déplacements pour des compétions comme les JIOI, le Championnat d’Afrique, les Jeux du Commonwealth et de la CJSOI en autres. À chaque compétition, il montre son talent et décroche des victoires.

En 2008 toutefois, Ludovic fait face à un gros pépin. Il se blesse lors d’un accident de moto et il est hospitalisé pendant deux mois. « J’ai été complètement coupé de la boxe… et c’était vraiment dur », partage-t-il. D’autant plus que le médecin le condamne même à… l’amputation de son pied ! Mais c’est avec la foi et sa force de caractère qu’il s’en sort. « Quand j’étais seul sur mon lit d’hôpital, je n’avais aucun autre secours que de prier. Prier pour que je guérisse, que je puisse marcher et remonter sur le ring. »

Impossible pour lui de penser à arrêter la boxe. Après plusieurs mois de rééducation de son pied, et malgré le désaccord de son médecin, il reprend
les entraînements. Avec l’encadrement de Guy Oriant, son entraîneur régional, mais aussi fort du soutien de sa famille, il arrive à retrouver ses marques et la boxe. « J’ai alors eu la rage de vaincre. Je voulais me prouver à moi-même et aux autres que kan nou anvi enn zafer,
nou bizin met tou nou kapasite ladan », lance-t-il.

Et depuis, il cumule les différents championnats. La boxe, sa passion, son métier ; il s’y donne à fond, pas seulement pour lui, mais aussi pour ses deux enfants, Alexia et Matheo. « Je suis heureux quand même du chemin que j’ai fait, mais je le fais pour mes enfants. Je veux qu’ils soient fiers de leur papa », dit-il avec émotion.

Toutefois, Ludovic Bactora est d’avis que la boxe nécessite beaucoup de sacrifices et surtout une détermination de fer. D’ailleurs, chaque boxeur suit un régime strict et doit avoir une bonne hygiène de vie. Il faut savoir parfois se priver de sa famille, parce qu’il faut aller à l’étranger pour des stages, soutient-il. Mais il faut aussi avoir un mental fort pour y arriver. « Il faut se donner à 110, 120%, car beaucoup de gens comptent sur nous. »

Avec la préparation pour les JIOI, il se dit toujours fier  de pouvoir représenter le pays, et vise, comme à chaque fois, d’accéder au podium. Comme rêves, il espère un jour participer aux JIOI à Maurice, car selon lui c’est extraordinaire de pouvoir jouer chez soi, avec son public.
Il conseille également aux jeunes de se tourner vers le sport, car cela évite les fléaux sociaux et aide à une vie saine.

Un passionné qui se donne à fond dans ce qu’il fait. Keep it up !!

Nadia Hilaire

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