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Christ vient…

19/12
2014
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Nous voilà presque arrivés à la fin du temps de l’Avent. Noël sera bientôt là. L’Avent, c’est un temps de cheminement s’étalant sur quatre dimanches durant lesquels le chrétien est invité à se préparer à accueillir Jésus. Regard sur ce temps joyeux avec le père Jean-Bernard Fricot.Noël arrive à grand pas. Les vitrines des magasins sont décorées. Les promotions sont les unes plus intéressantes que les autres. Le boni de fin d’année est dans la poche pour beaucoup de Mauriciens, et il est difficile pour beaucoup de freiner le désir de se faire plaisir ou de faire plaisir aux proches et amis. À la maison, les pots de peinture se mêlent aux papiers d’emballage pour les cadeaux, aux morceaux de tissu restants des rideaux récemment cousus. Alors que les week-ends, les maisons se transforment en chantiers : nettoyage des antivols par ici, rangement du débarras par là, sans oublier le nettoyage des murs extérieurs et de l’allée au karcher. Par ailleurs, les engagements professionnels, les « obligations » de shopping s’ajoutent aux tâches ménagères titanesques et finissent par avoir raison des nerfs des uns et des autres.

Pourtant, dans le brouhaha de cette période de fin d’année, où les gens sont de plus en plus pressés, sollicités et surmenés, l’Avent invite le chrétien à savourer l’attente de l’arrivée de Jésus, explique le père Jean-Bernard Fricot. Savourer l’attente, non pas en restant figé dans son état passé, mais en se convertissant.

« Comme chaque saison comprend son lot de changement, il en va de même pour les temps liturgiques. Ainsi, l’Avent nous invite à nous réajuster pour accueillir la venue de Jésus. Une conversion, comme celle à laquelle nous sommes invités lors du temps de Carême, mais
si pour le Carême on vous dit :
‘convertissez-vous car il est venu et vous ne l’avez pas accueilli’, la conversion durant l’Avent est associée à la joie et à l’espérance. »

D’ailleurs, pour le prêtre, si les gens accordent beaucoup d’importance au nettoyage de la maison, etc., le chrétien doit aussi se donner un temps pour procéder à un nettoyage intérieur. Aussi, il fait le parallèle en parlant de l’importance d’être attentif en ce temps de l’Avent en disant que « de même que nous prendrons grand soin de laver nos coupes sorties pour les fêtes, parce que ce sont des objets précieux et fragiles, nous devons vivre l’attente de l’arrivée de Jésus avec autant d’attention, avec patience, avec considération. Car, si on vit l’Avent attentivement, combien plus Jésus-Christ change notre comportement. On nettoie bien parce que nous avons envie d’accueillir ».
Un nettoyage intérieur où le sacrement de la réconciliation trouve aussi sa place, pour « se mettre dans les dispositions adéquates pour accueillir Jésus ».

Les nombreuses sollicitations en cette période de fin d’année, et qui coïncident avec ce temps de l’Avent, ne sont pour le père Fricot qu’une nouvelle occasion de faire prendre conscience aux uns et aux autres de la manière dont les choses matérielles occupent une large place dans la vie de beaucoup de personnes.

Parlant de la place de Marie dans l’Avent, et se référant aux textes du quatrième dimanche de l’Avent, le père Fricot rappelle comment Marie est un modèle de foi. « Nous pouvons, par exemple, parler de la disponibilité de Marie. Elle qui accepte, dans la foi, d’accueillir le fils de Dieu en son sein. D’ailleurs que Dieu se fasse fragile, ce n’est pas ce à quoi les gens s’attendaient. Or, Il a fait le choix d’être fragile, d’être pauvre pour mieux rejoindre l’homme. »

Et au prêtre de rappeler que « la figure de Marie montre combien de temps − depuis toute l’histoire de l’humanité − Dieu attend que l’humanité soit prête à l’accueillir. Ce n’est pas l’homme qui attend Dieu, mais Dieu qui attend l’homme. Et la réponse de Marie, c’est la
disponibilité de l’humanité à accueillir celui qui donnera vie à un monde nouveau
 ».

Martine Théodore-Lajoie

L’Avent, fête populaire

Dès l’Avent, la maison se pare de couronnes et de guirlandes.

La couronne est faite de branchages de pin, arbre toujours vert pour signifier la vie. Elle est nouée par un ruban rouge et ornée de pommes de pin. C’est un ancien symbole aux significations multiples. Les couronnes rondes évoquent le soleil et annoncent son retour. La couronne est un cercle qui rappelle que le temps des fêtes revient chaque année. Ce cercle symbolise aussi que Jésus va revenir, que l’Avent n’est donc pas seulement l’attente avant Noël, mais aussi bien l’attente du retour du Christ. La couronne de l’Avent peut être placée sur une table avec quatre bougies ou sur la porte d’entrée de la maison. Pour les chrétiens, cette couronne est aussi le symbole du Christ Roi, le houx rappelant la couronne d’épines posée sur la tête du Christ avant sa mise en croix.

Les 4 bougies. Sur la couronne, on place quatre bougies. Chaque dimanche de l’Avent, on en allume une de plus. Plus la fête approche, plus il y a de lumière. Les quatre bougies allumées sont le symbole de la lumière de Noël qui approche et qui apporte l’espoir et la paix.

Ces bougies symbolisent les grandes étapes du salut avant la venue du messie :
– La première est le symbole du pardon accordé à Adam et Ève.
– La deuxième est le symbole de la foi d’Abraham et des patriarches qui croient au don de la terre promise.
– La troisième est le symbole de la joie de David dont la lignée ne s’arrêtera pas. Elle témoigne de l’alliance avec Dieu.
– La quatrième est le symbole de l’enseignement des prophètes qui annoncent un règne de justice et de paix.
Le calendrier de l’Avent pour patienter. Cette tradition germanique est née de l’imagination d’un père de famille voulant canaliser l’impatience de ses enfants. Il découpa des images pieuses qu’il leur remit chaque matin.

En 1908, pour la première fois, on imprime un calendrier de l’Avent. Il s’agissait de 24 images détachables à coller chaque jour sur un support pour former un poème religieux. Vers les années 1920, on voit apparaître les premiers calendriers cachant des friandises.

Prière

Dieu, merci de venir réveiller
notre attente endormie sous les soucis,
la bousculade des jours et nos ennuis.

Dieu, merci de venir réveiller notre
attente endormie sous le poids des choses.
Nous sommes si pressés que nous
ne prenons plus le temps d’attendre.
Nous avons tant à faire, à penser.

Nos agendas, nos heures,
nos vies sont remplis.
Nous sommes si occupés, envahis, pressés que nous n’avons jamais plus le temps.
Dieu, merci de venir réveiller
notre attente.

Toi, Tu nous fais cadeau
de ce temps neuf.

Voici les temps nouveaux !

D’un temps qui ne peut
se gagner ni se perdre.

D’un temps pour respirer,
pour espérer, pour vivre.

Dieu, merci pour ce temps d’Avent.
Merci d’arriver à l’improviste,
visiteur inattendu !

Car si Noël est programmé
sur nos calendriers,

Toi, Dieu, Tu n’as jamais fini
de nous surprendre !

Calendrier liturgique catholique 2015

Mieux comprendre les différents temps

Le dimanche 30 novembre 2014, les catholiques ont commencé une nouvelle année, qui s’achèvera le dimanche 22 novembre 2015. L’année liturgique commence le premier dimanche de l’Avent (fin novembre ou début décembre, selon les années) et se termine fin novembre de l’année civile suivante, avec la fête du Christ-Roi. Elle ne correspond donc ni à l’année civile, ni à l’année scolaire. Le calendrier liturgique comporte de grandes fêtes (Noël, Pâques, Ascension, Pentecôte, Assomption, Toussaint) et des temps de préparation  (l’Avent prépare à Noël et le Carême prépare à Pâques). Le temps ordinaire est réparti sur deux périodes : du premier dimanche de l’Épiphanie au mercredi des Cendres et de la Pentecôte au premier dimanche de l’Avent.
Des fêtes sont célébrées à dates fixes (Noël, Assomption, Toussaint), d’autres sont « mobiles » dans le calendrier (Pâques, Ascension, Pentecôte).
Le calendrier liturgique catholique aide les chrétiens à revivre les grands évènements de la vie et de l’enseignement du Christ, en particulier de sa naissance (Noël) à sa Résurrection (Pâques). L’Avent, du latin adventus « venue, avènement », est une période de quatre semaines marquées par les étapes que sont les quatre dimanches de l’Avent. L’habitude se développe d’allumer une bougie sur une couronne de l’Avent, pour chaque dimanche. Pourquoi ne pas prier, ces dimanches-là, pour que vienne la Paix ?

Le temps du Carême prépare à Pâques, il est aussi le temps où les futurs baptisés (catéchumènes) se préparent à leur baptême, confirmation et Eucharistie dans la nuit de Pâques. Dans ce calendrier, le temps dit ordinaire désigne les périodes autres que les deux temps forts célébrés par l’Église : d’une part, l’Avent et le temps de Noël ; d’autre part, le Carême, la fête de Pâques et le temps pascal jusqu’à la Pentecôte. Le « temps ordinaire » n’a d’ordinaire que le nom. En dehors de Noël et du temps pascal, c’est l’ensemble du temps liturgique qui permet aux fidèles de vivre sur une année complète tout le mystère du salut accompli par Jésus-Christ. Le temps ordinaire comprend donc les 33 ou 34 semaines couvrant le reste de l’année.
 À quoi sert ce temps ?

Dès les origines, l’Église a voulu que les fidèles revivent sur une année entière les événements de l’histoire du salut accomplis par Jésus-Christ. Pendant le temps ordinaire, lorsqu’on ne commémore pas un fait précis de la vie du Christ, de la Vierge Marie ou d’un saint,
c’est le dimanche lui-même, « Pâque hebdomadaire », qui est valorisé comme « jour de fête primordial qu’il faut proposer et inculquer à la piété des fidèles ».

Le temps ordinaire donne aussi aux fidèles l’occasion de progresser dans leur connaissance et leur compréhension des grands textes bibliques. Pendant les dimanches « ordinaires », en effet, à l’inverse des temps forts de l’année où les lectures sont choisies de façon thématique, on fait une lecture continue des textes (Épîtres et Évangile) de l’année en cours, selon un parcours conçu sur trois années A, B et C.

Par ailleurs, le lectionnaire s’étend sur trois années afin de couvrir la plus grande partie de la Bible. D’où les années A, B et C. Un Évangile synoptique est utilisé chaque année : année A : l’Évangile selon saint Mathieu, année B : l’Évangile selon saint Marc, année C : l’Évangile selon saint Luc. Tandis que l’Évangile selon saint Jean est utilisé tout au long des trois années. Nous sommes actuellement dans l’année B.

Pour l’Avent 2014, les lectures de la messe du premier dimanche expriment l’attente de la venue du Seigneur (première lecture) ; la venue de quelqu’un qui nous fera tenir (deuxième lecture), enfin, un appel à être vigilants et actifs pour le Royaume de Dieu (Évangile).

Les lectures des autres dimanches seront invitation à la consolation, à la joie, invitation à reconnaître le Seigneur qui vient. Au 3ème
dimanche de l’Avent résonne l’appel du prophète Jean-Baptiste à « préparer le chemin du Seigneur ». Le quatrième dimanche évoque l’annonce à Marie, selon Luc. Ainsi l’Avent prépare à célébrer la venue de Dieu, dans la chair et dans l’histoire des hommes. Au cours de l’année seront proposés de nombreux textes tirés de l’Évangile de Marc.

Chaque temps liturgique est associé à une couleur. Le code couleur correspond aux vêtements et ornements liturgiques pour les temps indiqués. Ces couleurs ont une signification.

Signification des couleurs

  • Le violet

L’Avent marque le lancement de l’année liturgique. Il s’agit d’une période de trois à quatre semaines (toujours 4 dimanches) qui oriente non seulement vers Noël, mais surtout vers la fin des temps. Le temps de l’Avent aiguise le « goût de Dieu ».

Le violet est un mélange de rouge et de bleu. Ces deux couleurs correspondent dans les codes de l’iconographie religieuse à la
divinité (le bleu) et à l’humanité (le rouge). Le violet de l’Avent nous rappelle que le Verbe s’est fait chair, que Dieu S’est fait homme.

On utilise aussi du violet pendant les 40 jours du Carême. C’est un temps de pénitence qui nous fait comprendre que par le don de la vie du Christ, l’homme connaît Dieu et est appelé à vivre de sa vie. Saint Irénée
de Lyon disait : « Dieu s’est fait homme pour que l’homme devienne Dieu. » Le violet du Carême rappelle le mystère de la Rédemption où, par amour, l’humain « retrouve » le divin pour sa plus grande joie.

  • L’or

C’est la couleur de la lumière précieuse. Cette couleur est utilisée lors des fêtes les plus importantes : Pâques et Noël.

  • Le blanc

C’est la couleur de Dieu. De la pureté, de la lumière et de la liberté. Elle est la couleur des baptisés qui, au baptême, portent toujours
un vêtement blanc, signe de leur liberté. C’est la couleur de la fête. Elle est portée lors des grandes fêtes liturgiques dans l’année.

  •  Le vert

Pour le temps « ordinaire », que l’on appelle aussi « le temps de l’Église », l’Église utilise le vert. C’est la couleur de la croissance et de l’espérance. Ce temps liturgique dure en tout 34 semaines et se divise en deux périodes. La première commence le lundi qui suit la fête du baptême de Jésus, jusqu’au mercredi des Cendres ;
la deuxième commence à la Pentecôte, et dure jusqu’au premier dimanche de l’Avent, fin novembre.

  • Le rouge

C’est la couleur de l’amour et du don. C’est aussi la couleur du sang versé, par amour, celui du Christ, bien-sûr, et celui des martyrs. Le rouge est utilisé pour les fêtes des martyrs le jour des Rameaux, le Vendredi saint, le jour du Sacré-Cœur et le jour de la Pentecôte.

  •  Couleur exceptionnelle : le rose

Le rose est utilisé le 3ème dimanche de l’Avent (dimanche du Gaudete) et le 4ème dimanche du Carême (dimanche du Laetare). Le violet s’éclaircit en signe de joie… impatiente de vivre la fête qui s’annonce.

  •  Plus rarement : le noir

C’est la couleur du deuil. Mais on utilise plutôt le violet pour les funérailles.
(Source : Croire.com)

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