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Zippy prend soin de nos juniors !

14/08
2013
2 commentaires »

Août marque les cinq ans du programme « Les amis de Zippy », visant à promouvoir la santé mentale des enfants. Ravie de ce succès, Émilie Duval, directrice du projet et responsable du département Psychologie et Counselling à l’ICJM, est plus que jamais convaincue de l’importance de ce programme. En 2009, ils étaient 10 écoles, 34 enseignants et 1 045 enfants à participer aux « Amis de Zippy », sur une base pilote. Cinq ans après, ce sont plus de 11 790 enfants et 391 enseignants (de Maurice et de Rodrigues) qui ont découvert « Zippy » et qui sont tombés sous son charme.Un bilan qui a de quoi ravir Émilie Duval, celle par qui « Les amis de Zippy » est arrivé à Maurice et qui a toujours eu à cœur de permettre à un plus grand nombre d’enfants d’en profiter. Aujourd’hui d’ailleurs, Zippy a dépassé les frontières des écoles primaires de Maurice et de Rodrigues, pour se faire connaître au pré-primaire et au sein d’ONG. Le programme a été offert au sein de deux écoles pré-primaires et de SOS Village. Pour Émilie Duval, il est essentiel de s’occuper de la santé mentale des enfants. C’est pourquoi donc « Les amis de Zippy » est un outil qui devrait être mis à la portée de tous les enfants. « À travers ce programme, les enfants apprennent à parler de manière concrète de ce qu’ils ressentent. De l’exprimer aussi de façon appropriée : dans le respect de soi-même, des autres, de leur environnement. Ils apprennent à exprimer leurs besoins, favorisant l’écoute et la communication ». Et de poursuivre en soulignant comment « Les amis de Zippy » vient répondre aux défis de la société.

Ainsi, dans un monde où l’individualisme gagne du terrain, « Zippy vient promouvoir l’entraide. Il apprend aussi aux enfants à développer leur sens de l’empathie et c’est prouvé que cela diminue la violence. »

 Succès immédiat

Aussi, alors que bon nombre d’enfants sont victimes de harcèlement, ce programme vient les aider à se protéger mais aussi à avoir plus de respect pour les autres. « Zippy permet également  aux enfants de développer des capacités sociales pour se faire des amis et les garder. Ainsi que de s’adapter aux changements et aux pertes. »Le succès de ce programme à Maurice a été presque immédiat. Enfants, enseignants et parents témoignent des transformations opérées. De principes adoptés, d’attitudes changées, de visions partagées, tant à l’école qu’à la maison. Un succès qui a conforté la responsable. Cinq ans après, le programme comprend aujourd’hui un service d’écoute et d’accompagnement au sein des écoles. Ceci à travers la présence  de Counsellors et de professionnels en psychologie (voir plus loin). Un service qui permet aux enfants, à leurs parents et enseignants d’avoir des personnes formées vers qui se tourner et se confier si besoin est. Qui donne lieu à des cheminements plus encadrés. Et à pas mal d’histoires couronnées de succès.

Pour Émilie Duval, alors que les chercheurs prévoient que la maladie la plus courante en 2020 sera la dépression, il est crucial de permettre aux enfants mauriciens d’être armés pour affronter l’avenir. D’ailleurs, poursuit-elle, les statistiques montrent bien qu’il y a un besoin de promotion de la santé mentale, vu le nombre de tentatives de suicide ou de suicides avérés. « Et les études montrent bien l’importance d’intervenir auprès des jeunes », fait-elle ressortir. « Les amis de Zippy », vient donc répondre à un besoin d’aujourd’hui et prévenir certains maux futurs.

 Du pain sur la planche

Malheureusement, note notre interlocutrice, si les écoles catholiques et des institutions privées ont adoptés « Les amis de Zippy » et en ont reconnu les bienfaits, pour l’heure il n’y a pas eu de prise de contact concluante pour que ce programme soit aussi offert aux enfants fréquentant les institutions gérées par l’État.

« En cinq ans, il y a eu des prises de contacts. Plusieurs rencontres avec des personnes du ministère de l’Éducation. Mais pas d’initiative pour voir comment eux aussi peuvent faire partie de cette mouvance. Nous sommes tristes de constater que tous les enfants mauriciens ne peuvent pas profiter de ce que leur offre « Les amis de Zippy ». Des outils qui les auraient pourtant aidés à affronter une vie qui est loin d’être facile. »

À noter que ce programme est généralement destiné aux enfants de STD II, à l’exception des projets-pilotes au pré-primaire et à SOS Village. Il comprend six mo-dules (Les sentiments ; La communication ; Établir et mettre fin à des relations ;  La résolution des conflits,  Les changements et les pertes ; On s’adapte). La classe est animée par l’enseignant, lequel aura au préalable bénéficié de 18 heures de cours accréditées par la Mauritius Qualifications Authority et Partnership in Education.

Et si le programme ne suscite par encore l’engouement d’autres partenaires éducatifs mauriciens, l’île sœur semble être plus réceptive. Zippy sera lancé sur une base pilote dans quelques écoles à la Réunion en octobre prochain. Émilie Duval et son équipe projettent également  d’offrir « des sessions avec les parents afin de renforcer les bénéfices des enfants qui participent au programme » et « de promouvoir le bien-être émotionnel des adultes à travers des sessions de sensibilisation ».  Zippy aura décidément du pain sur la planche !

Martine Théodore-Lajoie

Let’s celebrate

Pour marquer les cinq ans de « Les amis de Zippy », plusieurs activités sont prévues. L’évènement le plus marquant reste toutefois la visite de Chris Bale, le directeur de Partnership for Children du 19 au 22 août prochains.

Durant son séjour à Maurice, Chris Bale aura aussi l’occasion de visiter des écoles (pré-primaire et primaire). Il est aussi prévu qu’il soit sur Radio One le 22 août pour le Club du midi. À noter que Partnership for Children est une orga-nisation charitable engagée dans la promotion de la santé mentale des enfants. Elle détient la franchise pour le programme « Les amis de Zippy », utilisé dans 27 pays et qui a touché plus de 8 000 enfants.

Quelques acquis

Selon une enquête qualitative en 2013 pour évaluer l’impact du programme sur les enfants et enseignants mauriciens cinq ans après, le programme aide aujourd’hui les enfants :

À mieux communiquer avec les autres (95%).

À mieux écouter les autres (94%).

À avoir plus confiance en soi (91%).

À mieux se contrôler (87%).

À se réconcilier plus facilement avec les autres quand ils sont en conflit (77%).

À mieux exprimer leurs sentiments (76%).

Tous les enseignants se souviennent du programme. De façon plus précise, le programme les aide aujourd’hui :

À mieux communiquer et écouter avec leurs élèves (94%).

À mieux communiquer avec les autres (93%).

À mieux comprendre leurs élèves (90%).

À avoir une meilleure gestion de classe (80%).

« Les amis de Zippy  – « Counsellors » : à l’écoute des petits !

Elles parcourent les écoles primaires de l’île. Présence discrète. Oreilles attentives. Elles, ce sont les Counsellors qui cheminent avec les enfants qui participent au programme « Les amis de Zippy ». Rencontre avec deux d’entre elles : Marie-Anne Chimon et Jeanine Daby. Une chose est certaine : elles sont passionnées par leur travail et par leur prochain. D’ailleurs, ce qui a conduit nos deux interlocutrices à assumer la responsabilité de Counsellors, c’est bien ce parcours passé avec des engagements tournés vers les autres. Marie-Anne Chimon en tant qu’accompagnatrice spirituelle, Jeanine Daby en tant que personne engagée dans le social. Des parcours qui ont interpellé des personnes qui elles-mêmes étaient Counsellors, au point de les encourager à prendre cette même voie.

Voilà donc deux ans que nos interlocutrices visitent chacune un certain nombre d’écoles primaires. Tout commence avec le début du programme « Les amis de Zippy ». « On commence par observer discrètement la classe. On regarde l’attitude des élèves », explique Jeanine Daby. « La classe est assurée par les enseignants. C’est d’ailleurs souvent l’enseignant qui va nous référer l’enfant qui a peut-être des difficultés. »

 Mettre en confiance

La mission du Counsellor est alors de mettre cet enfant en confiance afin qu’il puisse se confier et qu’ensemble ils puissent essayer d’arranger les choses. Un processus délicat et qui prend le temps qui faut. Mais aussi un processus qui ne peut pas commencer sans l’autorisation écrite des parents. « Avant de voir un enfant, nous devons demander l’autorisation des parents. Il arrive que des parents refusent. Nous devons alors respecter leur décision », explique Marie-Anne Chimon.

En aparté avec l’enfant qui pourrait avoir besoin d’aide, c’est ici dans une salle spécialement destinée au Counsellor, là-bas dans une salle informatique libre à ce moment, que le Counsellor amorce l’approche. « L’enfant ne se confie pas tout de suite. On commence souvent par lui faire faire un dessin », explique Marie-Anne Chimon. Un dessin qui permet souvent au Counsellor de comprendre beaucoup de choses sur l’enfant en question. Un dessin qui dans bien des cas brise la glace et qui donne lieu à des conversations fructueuses. « On commence toujours par demander à l’enfant comment il se sent. On part toujours des sentiments (…) Et quand la relation est bien établie, c’est l’enfant lui-même qui vient vers nous », précise Jeanine Daby.

C’est de la famille et de la maison que sont issus la plupart des soucis qui perturbent les enfants rencontrés par ces deux Counsellors. « Violence dans la famille. Divorce. Papa ou maman qui boit trop. Parents qui disent des jurons. Famille recomposée. Enfant habitant avec les grands-parents », énumèrent-elles. Mais parfois aussi, il y a des problèmes propres à l’environnement scolaire. « Comme des soucis liés à l’amitié. »

 Se sentir mieux

Dans tous les cas, après avoir mis le doigt sur le problème qui perturbe l’enfant, il s’agit pour le Counsellor d’aider ce dernier à réfléchir à ce qu’il peut faire pour se sentir mieux. Une manière de gérer les problèmes qui porte du fruit, mais il arrive aussi que le Counsellor ait besoin d’aide. « Parfois, nous devons faire appel aux parents ou à un psychologue. Certains parents viennent. D’autres pas », font ressortir les deux Counsellors. Si ces dernières estiment qu’un problème est beaucoup plus complexe, elles n’hésitent pas à faire appel à leurs superviseurs pour des conseils. La rencontre mensuelle des Counsellors à l’Institut Cardinal Jean-Margéot est aussi un bon moment pour déposer ce qu’elles ont vécu, sans pour autant briser le secret de la confidentialité. Par ailleurs, si ces Counsellors sont principalement dans les écoles pour être à l’écoute des enfants de Std II, il leur arrive aussi d’être sollicitées par des élèves d’autres classes et des enseignants. Des démarches qui montrent bien comment l’écoute est importante pour tout un chacun. « Chaque personne a besoin, à un moment ou à un autre de sa vie, d’être écoutée », note Marie-Anne Chimon.

Martine Théodore-Lajoie

Session pour les parents – Papa et maman sur les bancs…

Entre avril et juillet 2013, des parents dont les enfants fréquentent l’école Lorette de Vacoas ont participé à un projet-pilote en lien avec « Les amis de Zippy ». Pour le couple Petit ou les Herminette, cette expérience a été bénéfique. Les couples Petit et Herminette ont une chose en commun : l’intérêt porté à ce que vivent leurs enfants. C’est d’ailleurs cela qui a poussé ces deux couples à être de ceux qui ont répondu présents à l’invitation d’Émilie Duval, et à vivre les sessions des « Amis de Zippy » à travers trois rencontres.

« On s’intéresse de très près à ce que font nos enfants. On a été poussé par la curiosité », témoigne le couple Petit. « C’était aussi dans l’optique d’aider et de canaliser Axelle à la maison, car elle avait déjà commencé les séances à l’école. Et comme Anielle s’est un petit peu documentée sur le sujet, on a trouvé que cela pourrait être bénéfique à la famille. »

L’intérêt évident de leur fils Adam pour ce programme a aussi attisé la curiosité du couple Herminette, admet Sophie. « Adam est de nature très active. Et il venait souvent nous parler de ce qu’il avait appris dans Zippy. Il avait aussi changé d’attitude. Par exemple, il exigeait qu’on lui accorde notre pleine attention quand il nous parlait de quelque chose. »

Et les voilà donc de retour sur les bancs de l’école pour une expérience qui semble avoir laissé un empreinte indélébile tant chez les parents que chez leurs enfants. Ainsi donc, Ronnie Petit avoue aujourd’hui que « les sentiments sont difficiles à gérer, même à notre âge. Nous ne savons pas toujours comment réagir face aux malheurs des autres. L’écoute ne se fait pas que par les oreilles et la communication que par la bouche ». Alors qu’Anielle, sa femme, a été marquée par la méthode apprise pour gérer une colère. « Avant, je voulais tout dire tout de suite. Aujourd’hui, j’ai appris que c’est mieux de prendre du recul, de s’accorder un moment d’isolement face à la situation et de reprendre la communication une fois calmée. Aussi, j’ai bien aimé apprendre sur l’art de la reformulation, c’est-à-dire aider l’autre à entendre ce qu’il dit car trop souvent, on parle sans s’entendre. »

 Changements d’attitude

Des prises de conscience qui ont aussi conduit à des changements d’attitude. « Quand notre fille faisait une bêtise, on avait tout de suite tendance à s’énerver et à infliger une punition », explique le couple Herminette. « On ne prenait pas toujours la peine d’écouter ce qu’elle avait à dire. Mais maintenant, en étant plus à l’écoute, on la confronte à sa bêtise de sorte qu’elle réalise d’elle-même que ce qu’elle a fait n’est pas bien. On lui enseigne que dans chaque chose qu’elle fait, elle doit avoir le souci de se respecter, de respecter l’autre et aussi de respecter son environnement. »

Pour Sophie Herminette, Zippy était l’occasion d’une prise de conscience : celle de l’importance de donner un temps de qualité à son enfant. « Je demande toujours comment a été la journée, par exemple. Mais toujours tout en faisant quelque chose d’autre en même temps. Aujourd’hui, j’ai réalisé combien il est important de s’arrêter pour se parler. »

Tous ces acquis transforment aujourd’hui la vie de ces familles. « Adam est maintenant comme un petit adulte. Il a beaucoup gagné en maturité. Il réfléchit. Il met des mots sur ses sentiments. Il met en pratique ce qu’il a appris dans ce programme. Comme ne pas parler en même temps qu’une autre personne. Il nous émerveille. »

Prise de conscience

Idem chez les Petit. « Axelle a beaucoup apprécié les sessions, surtout sur les sentiments et la communication. Aujourd’hui, elle s’amuse à nommer ses sentiments face à des situations qui surviennent. Par exemple elle dit : ‘Je suis excitée, cool, agacée, hors de moi, dégoûtée…’, etc. Aussi, il y a une grande prise de conscience concernant la perte de quelqu’un par la mort et les sentiments que cela engendre. »

Face à tout ce qui a été acquis à travers « Les amis de Zippy », les parents interrogés sont unanimes à reconnaître les bienfaits de cette formation, tant pour les enfants que pour la famille. « On trouve que le respect de soi et des autres se fait de plus en plus rare de nos jours ; donc, organiser des séances sur le respect (à l’école, au travail, à l’église, dans les lieux publics, …) serait une excellente initiative », partage le couple Petit. Alors que Sophie Herminette est d’avis que ce serait une excellente chose que de proposer Zippy à d’autres enfants, d’autres classes. « Ma fille Émilie qui est en STD VI regrette de n’avoir pas pu profiter de cela. Pourquoi donc ne pas proposer Zippy aux élèves de Form I ou II ? »

Martine Théodore-Lajoie

 

Commentaires

  1. vanessa Nunkoo dit

    20 juin 2017 à 08:33

    Bonjour

    En tant que parent, j’aurais aime savoir si c’est possible d’avoir le manuel les amis de zippy s’il vous plait. Merci

    Bien a vous

    Vanessa

    Répondre
    • virginie dit

      28 juin 2017 à 11:14

      Le programme Les Amis de Zippy est un programme scolaire pour les enfants entre 5 et 7 ans. Les personnes ayant été formées (les enseignants majoritairement) deviennent alors facilitatrices/facilitateurs de ce programme et peuvent alors utiliser le materiel prévu pour animer les séances, c’est a dire le manuel.
      Afin d’aller plus loin avec le programme Les Amis de Zippy, il y a parfois la possibilité dans les ecoles où le programme est en cours, de beneficier en tant que parent de s&ances de Zippy afin de pouvoir renforcer à la maison ce qui est dit à l’ecole.

      N’hesitez pas si vous le souhaitez prendre contact avec nous pour d’autres informations.

      Bien cordialement,

      Amélie Saulnier
      Psychologue de l’enfant et l’adolescent
      Coordinatrice de projet

      Répondre

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