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Le père Pierre Piat : « Famille chrétienne : entre identité et défis »

19/07
2013
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20130719PiatDossier La Vie Catholique – Le père Pierre Piat, aumônier de l’Équipe d’animation pastorale de la famille (EAPF), nous définit l’identité de la famille chrétienne et évoque les défis pour transmettre les valeurs chrétiennes dans ce monde de 2013.

Père Pierre Piat vous avez été nommé, l’an dernier, par Mgr Maurice E. Piat pour réunir tous les mouvements et services engagés dans la Pastorale familiale. D’où la naissance de l’EAPF. Pouvez-vous définir son rôle et sa mission ?

Les membres de l’EAPF sont les responsables des différents mouvements et services de famille : Marriage Encounter, Soirées pour fiancés, CPM, Équipes Notre Dame, Couples for Christ, Service Famille, Foi et Lumière, Équipes trois ans, Mouvement d’aide à la maternité, Cana – un service couple de la Communauté du Chemin Neuf – et l’Action familiale. Et pour un enrichissement mutuel, chaque mouvement ou service partage ce qu’il vit au sein de son groupe. Ce qui permet aux autres membres de mieux connaître l’autre.

La lecture de Familiaris Consortio, publié en 1981 par le pape Jean-Paul II suite au synode des évêques sur la famille, a été un exercice très riche. Cela nous a permis de découvrir les différents éléments à rassembler pour une Pastorale familiale d’ensemble. Et aussi de voir les richesses et lacunes de la Pastorale familiale et de développer une plus grande complémentarité. À l’avenir, nous espérons organiser un rassemblement où les familles et les mouvements pourraient témoigner de leurs diverses expériences de cheminement avec le Christ.

De nos jours, les familles chrétiennes ont de moins en moins le temps de se mettre en contact avec la Parole de Dieu. Comment faites-vous justement pour que l’Évangile soit au cœur de leur vie ?

Chaque mouvement a sa manière de rejoindre les familles et de leur proposer la Parole de Dieu. Personnellement, j’ai été émerveillé par la grande richesse vécue dans chacun des groupes. Il y a de formidables expériences de rencontre dans chaque mouvement, et chacun fait un travail formidable pour réunir, nourrir et envoyer les familles en mission. Nous ne
voulons toutefois pas nous substituer au rôle et à la pédagogie spécifique de chaque mouvement. L’important, c’est que chaque structure apporte sa contribution unique au service des familles mauriciennes.

Comment définissez-vous la famille chrétienne ? Quelle est son identité ?

À l’origine, la famille est fondée sur le mariage indissoluble entre un homme et une femme. C’est pourquoi, comme nous le dit le pape émérite Benoît XVI, reconnaître et soutenir cette institution est un des services les plus importants que l’on puisse apporter aujourd’hui au bien commun. Le trésor le plus précieux dans la vie d’un couple, c’est bien la présence aimante de son conjoint à ses côtés. De cet amour jaillit alors la vie des enfants. Ces derniers reçoivent gratuitement de leurs parents leur filiation et s’inscrivent dans la grande histoire  de la famille humaine. À travers la famille, le lien se fait entre les générations et la transmission des valeurs et de la foi. C’est pourquoi le Concile Vatican II n’a pas hésité à appeler la famille « une petite Église domestique ».

À travers elle, les personnes qui la composent reçoivent la vie comme un don. Ces personnes la transmettent à leur tour gratuitement. Animée par la présence du Christ et éclairée de sa Parole, la famille devient un signe de la présence aimante de Dieu parmi nous. « Dieu a créé la personne humaine à Son image et à Sa ressemblance : et en l’appelant à l’existence par amour, Il l’a appelée en même temps à l’amour. C’est pourquoi la vocation innée de la famille et des personnes qui la composent, c’est l’amour et la communion » (le pape Jean-Paul II, Familiaris Consortio no 11).

 Transmettre les valeurs chrétiennes est une tâche de plus en plus difficile de nos jours. Les familles chrétiennes nagent souvent à contre-courant et leur message n’intéresse plus les jeunes. Comment, alors, aider ces familles dans leur mission de transmission ?

Une des principales tâches de la famille est de donner une éducation humaine et chrétienne aux enfants pour les aider à réussir leur vie. La famille peut être cette communauté d’amour où on apprend à accepter les différences des autres membres qui la composent. Elle peut être une école de prière dès le plus jeune âge pour les enfants qui ont soif de Dieu. Sofia Cavalletti parle du « potentiel religieux de l’enfant ».

Ils sont ouverts aux récits qui composent la Bible. Par exemple, ils aiment beaucoup l’histoire de Joseph et de ses frères. L’événement de la naissance de Jésus et les paraboles les touchent également beaucoup. Il ne faut pas non plus oublier que la famille est cette communauté qui peut être ouverte et accueillante aux autres, et elle peut également ouvrir les enfants à la beauté et à la bonté du monde qui les entoure. Le témoignage parle plus que les enseignements, et c’est quand les parents vivent leur foi que le message de l’Évangile pourra faire son chemin dans le cœur des enfants et des jeunes.

 Dans le monde d’aujourd’hui, quels sont, selon vous, les grands défis auxquels font face les familles chrétiennes à Maurice ?

La famille chrétienne est entre identité et défis. Il y a un premier défi, selon moi, et pas des moindres : c’est la grande évolution dans le monde du travail et le lien entre la famille et le travail. De plus en plus, les deux parents travaillent, et avec la fatigue et le stress que cela comporte, les parents ont moins de quality time pour leur couple et avec leurs enfants.

Les raisonnements de la théorie du genre sont aussi une grave menace sur la famille et ses fondements. Elle nie la différence sexuelle entre l’homme et la femme et prétend que l’orientation sexuelle est de l’ordre du choix personnel. Pour faire simple, je ne nais pas homme ou femme, mais je peux choisir, si je le veux, d’adopter un comportement masculin ou féminin, peu importe mon sexe. Les menaces sur la vie humaine, de son commencement jusqu’à son terme, se multiplient. On voit le paradoxe de l’avortement où l’enfant n’est plus en sécurité dans le ventre de sa mère et de l’autre côté, face aux problèmes d’infertilité, la technique permet de fabriquer l’enfant à tout prix avec les dérives qui y sont associées.

En existe-t-il d’autres ?

La pauvreté grandissante de nombreuses familles qui ne leur permet pas d’avoir des conditions de vie décentes pour favoriser l’épanouissement de ses membres. Il en ressort une fragilisation du tissu familial et une incapacité à faire face aux besoins essentiels de la vie. Les blessures subies dans ce contexte restent des fardeaux très lourds à porter. Je pense que dans le domaine de la famille, nous constatons le même phénomène que dans d’autres domaines de la Pastorale. Il y a un grand manque de formation catéchétique et une difficulté à pouvoir rendre compte de la foi qui nous anime. Un des axes du projet Kleopas sera justement de conduire les familles à faire l’expérience d’une rencontre plus profonde avec Jésus-Christ, et de leur donner les connaissances qui leur permettront de prendre une part plus active à l’annonce de l’Évangile au sein de la famille, et par la famille. L’avenir de la société et de l’Église passe par la famille.

Propos recueillis par Sandra Potié

Prière de Jean-Paul II à Marie,
mère de nos familles (3-11 février 1994)

Vierge Marie, Mère de l’Église,
sois la mère de nos familles.

Que grâce à ton aide maternelle, toute famille
chrétienne puisse devenir vraiment
une « petite Église », dans laquelle se reflète
et revive le mystère de l’Église du Christ !

Toi qui es la servante du Seigneur,
sois l’exemple de l’accueil humble
et généreux de la volonté de Dieu !

Toi qui fus la Mère douloureuse au pied de la croix, sois là pour alléger les souffrances

et essuyer les larmes de ceux qui sont affligés
par les difficultés de leurs familles !

Que le Christ Seigneur, Roi de l’univers,
Roi des familles, soit présent, comme à Cana,
dans tout foyer chrétien pour lui communiquer
lumière, joie, sérénité, force.

Que toute famille sache apporter généreusement
sa contribution originale à l’avènement
de son règne dans le monde.

Au Christ, à toi Marie, à Joseph,
nous confions nos familles.

Témoignages

Les valeurs, oui, mais chrétiennes…

Le défi n’est pas simple. La difficulté dans la transmission des valeurs chrétiennes affecte un nombre grandissant de familles de nos jours. La tentation de la société moderne ne fait qu’alimenter ce processus. Clarel et Danielle Marie en témoignent.

La famille chrétienne, dans ses imperfections, a pour mission de vivre de l’Évangile et aussi de l’annoncer. Dans sa propre maison, à ses enfants comme dans son entourage. Elle est appelée à être sel et lumière pour les autres. C’est en effet dans la famille que la transmission des valeurs chrétiennes se vit. L’enfant apprend l’amour fraternel, l’amitié,
le respect, le pardon, l’écoute, et surtout le dialogue qui doit être permanent et dynamique.

L’enfant apprend aussi l’hospitalité, l’entraide, la solidarité, tout aussi bien que la joie au travail. C’est également dans la famille qu’il apprend à louer Dieu, à Lui faire confiance, à Le remercier pour les bénédictions et à Lui confier ses difficultés. La prière en famille fortifie et resserre les relations.

Depuis leur « oui » le 15 juillet 1988, Clarel et Danielle Marie ont toujours respecté leur engagement. D’abord, en restant fidèles l’un à l’autre, en aimant l’autre, même dans les différences et les difficultés, en le respectant, en donnant une grande place à son épanouissement. Et surtout, en donnant la meilleure place à Dieu au sein de leur couple. En présence de leurs deux enfants, Yannick et Gaëlle, et de leurs parents respectifs et amis, le couple a eu la grande joie de célébrer ses noces d’argent le week-end dernier. Leur plus grande prière a été de rendre grâce à Dieu pour leur avoir permis de vivre les valeurs chrétiennes transmises par leurs parents.

Dialogue franc

Cependant, le défi qui se pose à eux est la transmission des valeurs. D’abord, à Yannick et Gaëlle, aujourd’hui âgés de 23 et 21 ans respectivement. « Nous pensons avoir semé les valeurs reçues et dans lesquelles nous avons foi,  à savoir : l’accueil, le respect de l’autre, la solidarité, le service, la confiance, la fidélité, l’engagement, l’empathie, la reconnaissance et surtout pratiquer notre foi chrétienne. » Aujourd’hui que les enfants sont des adultes, les parents constatent qu’ils peinent à vivre certaines valeurs. « Ils ne les vivent pas aussi facilement que nous. »

Tandis que les Marie ne ratent jamais la messe, leur plus grande tristesse est que les deux enfants n’y vont que rarement, sauf pour les grandes fêtes. « Parfois, nous aurions aimé voir plus de reconnaissance de leur part, plus de solidarité à la maison, ne pas porter de jugement sur les autres. » Clarel et Danielle croient beaucoup dans le dialogue franc et ouvert avec
Yannick et Gaëlle. Ils n’hésitent pas d’aborder librement les situations où ils pensent que les valeurs transmises ne sont pas vécues ou encore sont remises en question par eux ou leurs amis.

En même temps, le couple prend conscience que les enfants évoluent dans un autre environnement. Ce qui, pensent-ils, influence leur choix à ne pas pouvoir vivre profondément les valeurs reçues. À l’exemple d’avoir fréquenté collèges et universités laïcs et d’avoir certains amis qui ne pratiquent pas ou qui n’ont pas la foi. D’autres qui ne sont pas fidèles dans leurs relations ou ne pas sont pas accueillants. Face à de telles situations, le couple vit parfois une déception. « Nous vivons à ce moment-là un sentiment d’échec. En même temps, nous voulons que nos enfants soient libres de faire leurs propres choix de vie en se basant sur tout ce qui a été semé en eux et aussi par l’exemple que nous pouvons être pour eux. »

Transmettre les valeurs se fait également de manière inconsciente, à travers leur attitude. Clarel et Danielle croient fermement que c’est la manière dont ils vivent qui influencera en priorité le choix de leurs enfants. « Dans notre quotidien, nous montrons notre amour, notre respect et notre fidélité l’un pour l’autre par nos
actions et attitudes. Nous dialoguons entre nous et avec eux. La réconciliation et le pardon ont une grande place dans notre couple et nous les vivons en présence de nos enfants. Nous risquons la confrontation, dans le respect, ce qui nous amène à la réconciliation et à l’acceptation de nos différences, donc à l’accueil de l’autre. »
Le couple essaie toujours d’éviter des confrontations inutiles et stériles qui peuvent nuire aux relations familiales.

Fermeté et tolérance

L’excellente relation que le couple entretient avec les parents respectifs est aussi un moyen de transmettre les valeurs chrétiennes aux enfants. « Nos parents, mariés depuis plus de 50 ans, sont toujours fidèles et aimants. Les valeurs chrétiennes sont au centre de leur vie. Ils sont et ont été très engagés au service de l’Église et dans les mouvements. Ils ont le souci et le respect des autres. Et sont accueillants et attentionnés. »

Cependant, transmettre des valeurs nécessite à la fois fermeté et tolérance. Clarel et Danielle restent toujours fermes dans leur foi et leurs convictions. « Nous croyons fortement que nos enfants trouveront la joie et la paix en vivant les valeurs chrétiennes. Pratiquer leur foi ne peut que les éclairer dans leur vie et leur apporter force, courage et réconfort. Se mettre au service permet de se décentrer et d’être moins égoïste pour être plus épanoui et heureux. »

Clarel et Danielle se disent témoins du changement radical de la société, voire de la dégradation des mœurs. « La société moderne bafoue les valeurs chrétiennes et nous fait croire qu’elles sont démodées ou n’apportent pas de joie ou d’épanouissement. »

Dans leur quotidien, les Marie sont parfois confrontés à la difficulté de vivre ces valeurs qu’ils ont choisies. Exemple : leur emploi du temps souvent chargé n’est pas toujours favorable à l’accueil. De plus, disent-ils, ce n’est pas toujours évident de ne pas porter de jugement, ou encore d’accepter l’autre dans sa différence, de ne pas être égoïste.

Le couple réalise que sans la foi et la conviction, il serait facile de laisser tomber les valeurs chrétiennes pour faire comme le monde moderne les incite à vivre : « Vivre pour soi, avoir du plaisir avant tout, consommer excessivement, tout avoir et tout de suite et sans peine, ne pas s’engager, fuir les difficultés et les obstacles, entre autres. »

L’encadrement du couple est essentiel, jugent-ils. Depuis plusieurs années déjà, ils ont fait le choix de s’engager dans le Marriage Encounter, un lieu qui leur permet de côtoyer d’autres couples vivant les mêmes valeurs qu’eux : le partage, la fidélité, le dialogue, l’acceptation de l’autre, l’accueil, la confrontation, le pardon. « Nous avons le privilège de pouvoir rencontrer d’autres couples et des prêtres régulièrement. Cela nous donne un élan pour continuer à vivre nos valeurs et le désir et la force de continuer à les transmettre autour de nous.»

Cependant, Clarel et Danielle sont conscients que leurs enfants ont besoin de faire leurs propres expériences. Malgré toutes les pressions qu’exerce la société moderne, le couple se dit confiant que les valeurs reçues des parents et grands-parents les influenceront positivement dans leurs choix. Ils sont encore jeunes, ont encore du chemin à faire. « On leur accordera toujours notre soutien, notre compréhension, notre disponibilité et surtout, notre amour inconditionnel », concluent Clarel et Danielle.

Sandra Potié

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