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Femmes, en marche avec Jésus !

12/07
2013
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Ansam, ansam, ansam dan enn mem bato. Bo tan, move tan. Pli loin ki posib, ziska lorizon. Eh oui ! Ce refrain du chant d’entrée traduisait clairement le désir des femmes ayant suivi le parcours « Regard de Jésus sur la femme mauricienne ». Jésus, dont le regard a transformé leur vie, est désormais leur horizon.La découverte et l’accueil de l’amour gratuit de Dieu dans notre vie fait germer une spiritualité de rendre grâce (dire merci) et rendre service (venir en aide aux autres). Message fort de Mgr Maurice E. Piat aux 245 participantes du parcours « Regard de Jésus sur la femme mauricienne ». Elles étaient 85 de Sainte-Anne (Tranquebar), 190 de Sainte-Croix et 70 de Saint-Malo (Baie-du-Tombeau) pour la messe de clôture de leur parcours dans la soirée du 5 juillet 2013. Messe présidée par Mgr Maurice E. Piat en l’église Sainte-Croix et concélébrée par les pères Lazare Zafimarolahy et Michel Moura.

Unies dans un seul élan de cœur, les participantes du parcours « Regard de Jésus sur la femme mauricienne » exultaient. Avec un cœur reconnaissant, elles sont venues rendre grâce à Jésus pour ce regard plein d’amour qu’il a jeté sur elles. Regard qui a transformé leur vie. Et qui leur procure une joie intense.

« Cette spiritualité de ‘rendre grâce’ et ‘rendre service’ aura un grand rôle dans notre vie », a souligné haut et fort Mgr Piat dans son homélie. « Ce merci deviendra un refrain dans votre vie. De plus, vous serez toujours tourné vers votre prochain pour lui venir en aide. » La même spiritualité de Marie qu’on découvre dans l’Évangile de la Visitation quand elle va voir sa cousine Elisabeth et lui vient en aide. Et aussi celle de Jésus dans l’Évangile de la Sainte Cène. « Jésus rend grâce à Dieu et lave les pieds de ses apôtres. »

 Cœur de tendresse

L’évêque n’a pas manqué de reprendre les paroles du pape François qui rappelle que la découverte de l’amour de Dieu dans notre vie ne peut que la révolutionner. « C’est ainsi que notre cœur de pierre se transforme en cœur de chair, voire en cœur de tendresse. » Et de préciser que c’est ce cœur de tendresse qui nous fera dire merci à Dieu et nous ouvrir aux autres.

Mgr Piat se dit très heureux que les participantes du parcours « Regard de Jésus sur la femme mauricienne » aient découvert la Bonne Nouvelle que Jésus-Christ est venu leur apporter. Bonne Nouvelle que  le Christ lui-même compare à une petite graine, voire une semence dans le cœur de l’être humain. « Quand le cœur de l’homme est touché par l’amour de Dieu, il est capable d’aider et de visiter les pauvres ou encore de donner sa vie pour son prochain. » L’amour est le cadeau qui a le plus de valeur, rappelle l’évêque. « Cet amour est palpable quand quelqu’un nous donne de son temps. Donner de son temps, c’est donner sa vie. »

 Rendre service

Seule la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ à travers sa Parole peut toucher et transformer le cœur de l’être humain. Et non la morale, précise l’évêque. Comme Matthieu, le collecteur d’impôts, a été touché et s’est converti, dit-il, en faisant référence à l’Évangile du jour (Mt 9, 9-13). L’évêque se dit confiant que ce germe de vie planté dans le cœur de chaque participante portera beaucoup de fruits dans le cœur de chaque famille et voisinage.

Devant cette église pleine à craquer, devant la famille et amis/es des participantes, l’évêque se dit heureux de voir ce bateau aussi rempli. Heureux de voir l’enchantement des participantes ayant découvert l’amour gratuit et inconditionnel de Dieu dans leur vie. Mgr Piat ne manque pas de leur dire de « garder cet amour de Dieu au fond  de leur cœur. C’est l’amour de Dieu qui vous remplira de joie. La joie de l’action de grâce et la joie de rendre service ».

Joie qu’on pouvait d’ailleurs lire sur le visage de toutes les participantes et animatrices. Et aussi celui de Gina Poonoosamy qui a conçu le parcours. Cette joie se ressentait aussi à travers tout l’amour qu’elles ont mis dans la préparation de la célébration : prières, intenses décoration festive de l’église ou encore belles tenues pour la célébration eucharistique.

Sandra Potié

Sept ans sous le regard de Jésus…

Une inspiration. Une décision. Une formation. Des transformations. Et plus de 3 000 bénéficiaires à Maurice à ce jour. Voici ce qui pourrait résumer l’histoire de la formation « Regard
de Jésus sur la femme mauricienne ». Une initiative de Gina Poonoosamy.

Elle est émerveillée et ne cesse de rendre grâce à Dieu pour tant de merveilles qui s’opèrent à travers la formation « Regard de Jésus sur la femme mauricienne ». Sept ans après le lancement de la formation, Gina Poonoosamy ne peut donc que contempler avec une joie immense les fruits de ce cours. Fruits qui se traduisent à travers les nombreux témoignages de personnes ayant suivis la formation, mais aussi de leurs proches et amis.

Concevoir « Regard de Jésus sur la femme mauricienne », a été selon notre interlocutrice, un don. « Cela a été donné. C’était lors d’une retraite. Coupée du monde et à l’écoute de mon Dieu, je reçois une parole : Donner vie aux femmes. Donner Jésus aux femmes. Nous sommes en 2004. » Pour Gina Poonoosamy, cette parole ne tombe pas dans une terre aride. Bien décidée à se mettre à l’ouvrage, elle s’appuie sur sa foi, mais aussi sur les nombreuses formations  dont elle a pu bénéficier pour concevoir la formation.

Il faut dire que Gina Poonoosamy est une personne qui a toujours été habitée d’un dynamisme et d’un désir de s’engager. Jeune, elle fait ses armes dans le social à travers l’Institut pour le développement et le progrès (IDP), avant d’enchaîner des formations tantôt sociales, tantôt humaines, tantôt spirituelles. « Il y a eu Fiat, l’École de théologie et des sciences humaines (ETSH), Vie spirituelle, l’approfondissement des exercices spirituels de saint Ignace, la formation à l’accompagnement spirituel, la retraite de trente jours, l’Écoute chrétienne, etc. Je ne finirai jamais de dire merci au diocèse pour tout ce qui m’a été donné de vivre. »

Profonde communion

Tout un parcours, une pléiade de formations qui ont permis à Gina Poonoosamy de concocter une recette gagnante pour « Regard de Jésus sur la femme mauricienne ». Un cheminement sur treize semaines durant lesquelles, partant d’étapes du quotidien de tout un chacun, et à travers la découverte de figures évangéliques, les participants sont invités à aller à la rencontre du Christ. « Nous parlons de la femme adultère, de la veuve, de la loi, de la mort, de la résurrection, entre autres », explique Gina Poonoosamy. À quelques semaines de la fin de la formation, une retraite est proposée, ainsi qu’une évaluation.

Sans oublier la célébration eucharistique. La retraite est pour beaucoup de participants l’occasion d’expérimenter un temps de silence et de rentrer dans un temps de profonde communion avec le Seigneur.

En sept ans d’existence, la formation a fait son bout de chemin. Sillonnant l’île pour aller à la rencontre de différentes personnes, mais aussi en se structurant davantage. Ainsi, aujourd’hui « Regard de Jésus sur la femme mauricienne » est un cours dispensé sous la houlette du département de Théologie et Pastorale de l’Institut Cardinal Jean-Margéot (ICJM). « Je remercie vivement Danielle Palmyre, responsable du département pour cela », fait ressortir Gina Poonoosamy.

Si au départ « Regard de Jésus sur la femme mauricienne » était destiné à un public féminin, aujourd’hui le cours est aussi proposé aux hommes. Les témoignages sont fantastiques pour Marie-Noëlle Pierre-Louis, animatrice. « Les hommes étaient au départ réticents, mais après, ils s’intègrent facilement. La plupart des participants sont ceux dont les épouses avaient déjà fait la formation. Il n’y a généralement pas d’absence. Et à la fin de la formation, beaucoup disent combien ils ont apprécié les sujets que nous avons abordés librement. Beaucoup se rapprochent de l’Église. De leurs familles. Les épouses et les enfants aussi témoignent du changement chez le mari, le papa. »

Nouvelle étape

Par ailleurs, souligne Gina Poonoosamy, « notre formation a évolué au cours des sept années passées. Nous nous sommes enrichis et nous avons gagné en maturité ». C’est donc une nouvelle étape que s’apprête à franchir l’équipe de « Regard de Jésus sur la femme mauricienne ». Ceci avec le projet Lakaz Betani. Une maison qui se voudra être accueillante, reposante, et à la fois un lieu de formation. Un projet encore à ses débuts mais auquel Gina Poonoosamy et les femmes engagées dans « Regard de Jésus sur la femme mauricienne » sont très attachées. Affaire à suivre.

Martine Théodore-Lajoie

Mère Augustine, sainte patronne du parcours

Au fils des ans, l’équipe animant « Regard de Jésus sur la femme mauricienne » s’est aussi étoffée et une sainte patronne a été choisie. Inspirée, Gina Poonoosamy a choisi Mère Augustine. « J’ai demandé à la Provinciale des religieuses du Bon et Perpétuel Secours si nous pouvions prendre Mère Augustine comme notre sainte patronne. Elle a accepté. Je trouve cela magnifique que dans notre Histoire mauricienne, il y ait eu des femmes comme Mère Augustine. Des femmes qui sont probablement celles qui nous permettent d’être ce que nous sommes aujourd’hui. »

Quand les hommes témoignent…

Des hommes tout aussi conquis que les femmes et chez qui de profonds changements ont également eu lieu. « Nous avons eu trois groupes d’hommes. Ce furent des moments très forts avec de grands instantsde partage. Le tout en toute confidentialité », précise Gina Poonoosamy.

Jean-Yves Brasse : « Un cœur-à-cœur à travers l’oraison »

Il l’avoue. C’est un peu par curiosité que Jean-Yves Brasse a décidé de participer à la formation. « J’avais fait Zezi Vre Zom (ZVZ). Au départ, je n’étais pas hyper motivé pour ‘Regard de Jésus sur la femme mauricienne’. Je croyais que ce n’était que pour les femmes. Mais je me suis dit allons voir. « Les débuts n’ont pas été faciles », confie notre interlocuteur.
Mais bien vite, il a trouvé ses repères et a pris goût à la formation. « Au départ, j’avais tendance à comparer avec ZVZ, mais je me suis ensuite rendu compte qu’il s’agissait d’une spiritualité plus intérieure. Un cœur-à-cœur à travers l’oraison. »

Un regard sur le parcours vécu, et Jean-Yves Brasse réalise combien il en sort gagnant. Aujourd’hui donc, priorité à la famille, à l’épouse, aux enfants, aux parents, au travail. Parlant du contenu de la formation, Jean-Yves Brasse a trouvé très intéressant le fait que les animatrices prenaient un exemple du contexte général pour leur parler de la famille. « Cela nous invitait à nous arrêter pour porter un regard sur des choses qui font généralement partie de notre quotidien. » À travers cette formation et les précédentes, notre interlocuteur a aussi changé sa manière de vivre la messe. « Aujourd’hui, si je ne vais pas à la messe, je ne comprends pas ma semaine. »

 Jean-Claude Miandy : « Aster mo al lames. Mo koumans sante »

Transformation profonde. C’est ce qu’à vécu notre interlocuteur. Invité par son ex-femme à faire ce parcours c’est avec beaucoup d’hésitation que ce dernier s’y rend. D’autant plus qu’à cette période de sa vie, rien ne va. « Problèmes de santé, de famille. Je pensais même à changer de religion. » Pourtant, au fil des semaines, Jean-Claude Miandy prendra goût à cette formation. Avoir l’occasion de parler, de partager sera pour lui comme une cure. « Ou pa kapav koz manti. Ou rakonte ek ou trouv kitsoz dan ou lavi. »

Si le fait de ne pas savoir lire avait toujours été pour lui un frein dans sa rencontre avec les autres, au sein de cette équipe, notre interlocuteur se sentira à l’aise et accueilli. Il se rend ainsi compte qu’il a sa place au sein de l’Église et qu’il peut aussi profiter des formations proposées. D’une vie où, selon ses dires, rien n’allait, Jean-Claude Miandy reconnaît aujourd’hui qu’il y a eu beaucoup d’amélioration. « Inn ena enn ameliorasion de 60%. Aster mo al lames. Mo koumans sante.» Une renaissance qui lui donne goût à la vie et l’envie d’aller plus loin dans sa formation. « Mo ti a kontan reviv lezot retret. Fer lezot sesion. » Et d’ajouter qu’il n’exclut pas l’idée de se joindre à un mouvement à l’avenir.

Steeve Lapoul : « Je vois l’œuvre de Dieu dans ma vie »

Ayant une quarantaine d’années, notre interlocuteur raconte qu’avant la formation, il n’était pas pratiquant. Mais « Regard de Jésus sur la femme mauricienne » a été pour lui une expérience extraordinaire. « J’ai appris à connaître la splendeur de Jésus à travers des femmes dans la Bible. » L’occasion aussi pour lui de se revoir. De faire son examen de conscience et de se rendre compte de la place du jugement et du pardon dans sa vie.

« Je me suis senti très proche de Dieu et j’ai été personnellement transformé. D’un homme très dur qui ressentait peu d’émotion, je suis devenu quelqu’un qui écoute, qui ressent de la compassion. » Un changement qui se voit également dans la relation avec sa famille, ses enfants. « Aujourd’hui je leur consacre beaucoup plus de temps. Du temps que j’avais aussi avant pourtant…» Sa foi raffermie, Steeve Lapoul sait aussi qu’il ne sera jamais seul. « Je sais que l’Esprit-Saint est avec moi. Je vois l’œuvre de Dieu dans ma vie. Je reconnais l’importance de rendre grâce. » Ainsi raffermi, il essaie d’aimer mieux, de partager mais aussi d’être témoin.

Martine Théodore-Lajoie

Quand les femmes témoignent…

Jésus-Christ a suscité en elles une transformation. À travers son regard, elles ont découvert le salut. Heureuses d’avoir été libérées, les participantes de Sainte-Croix, Tranquebar et Baie-du-Tombeau ont dit tout haut lors de la messe de clôture à Sainte-Croix que désormais, elles sont des témoins de la Bonne Nouvelle.

Cathy de Sainte-Croix : « J’ai appris à vivre l’Évangile dans le quotidien de ma vie. Le parcours m’a comblée. Je suis rentrée chez moi avec une grande paix que Jésus m’a donnée durant la retraite silencieuse. Aussi avec beaucoup d’amour et de joie que je partage auprès de ma famille.»

Marie-Rose : « Mon enfance difficile me rendait tout le temps triste. Je pensais être arrivée dans ce monde par pur hasard. Mon cœur était rempli de haine, d’amertume et de violence. Aujourd’hui, mon regard a changé : sur moi-même, sur Dieu et sur les autres. Je me sens aimée de Dieu. Je Lui parle en toute confiance. Je partage l’amour autour de moi, spécialement avec mes enfants. Il n’y a que Dieu qui puisse m’apporter une telle guérison. »

Solange : « Chaque témoignage était comme une perle, une richesse dans ma vie. J’ai appris à respecter l’heure de mon oraison et à être fidèle à mon Dieu. Ainsi, j’ai pu découvrir l’immensité de l’amour de Dieu à mon égard. Mon regard a été transformé. Autour de moi, je vois tout beau. Mon cœur est désormais gonflé de paix et de joie. J’ai découvert que Dieu y habite. »

Audrey : « Tout était négatif dans ma vie. Le mal la dirigeait. Ce parcours m’a transformée. Durant la retraite, Jésus est venu me retirer du ravin de la mort. Il m’a aidée à laisser tomber ce lourd manteau. Seul l’amour de Dieu peut nous sauver. Aujourd’hui, ma vie est remplie de louange et d’action de grâce. »

Devi : « Jésus est venu guérir mon cœur. Je vois tout le monde avec le regard de Jésus : mon mari, mes enfants et même ma voisine avec qui je n’étais pas en bon termes. L’Esprit-Saint a aussi travaillé le cœur de ma voisine. Notre réconciliation a été spontanée. Une grande paix habite notre cœur. »

Annick : « Je suis une jeune veuve. Je n’étais ni croyante, ni pratiquante. La maladie de mon bébé de sept mois m’a remise sur le chemin de l’Église. Le parcours m’a permis de voir que Jésus m’accompagne dans tout ce que je fais et ce que je vis. Aujourd’hui mon bébé a deux ans. Il ne fait plus d’injections d’insuline et ne souffre plus de cataracte. Je remercie le Seigneur pour toutes ces merveilles. »

Sandra Potié

Dossier de La Vie Catholique

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