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Père Henri Arthé : « Dieu est lumière du monde »

12/11
2012
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Divali, ou Diwali, Deepawali, vient du sanscrit : Deepa signifie « lumière » et awali « rangée ».
Chaque année, entre fin octobre et mi-novembre, les hindous célèbrent Divali, la fête de la lumière. Longtemps en mission au Pakistan, le père Henri Arthé a côtoyé des hindous et des musulmans. Il nous en dit plus sur le Dieu de lumière chez les catholiques et les autres religions.

Père Arthé, les hindous de par le monde célèbrent la fête de la lumière. Que représente cette lumière pour eux ?

Toutes les grandes traditions religieuses ont une vénération pour la lumière. Cette lumière que nos frères hindous appellent « jyoti » est à l’origine de tout. Pour Divali, les hindous vont célébrer ce Dieu absolu et infini qui est aussi Dieu de lumière. Il leur donne la connaissance et les aide à faire la vérité en eux et autour d’eux. Il faut d’ailleurs noter que les plus grands rites hindous se font autour du feu sacré appelé « Agni », et autour duquel les hindous font le « Yaj », ou sacrifice pour les grandes occasions. Ce feu sacrificiel est considéré comme une divinité. Raison pour laquelle les hindous ont un grand respect et célèbrent avec tout leur cœur la lumière.

Et qu’en est-il pour nos frères musulmans ?

Les musulmans, qui refusent toute association d’un autre concept avec Allah qu’ils considèrent comme unique, prennent eux aussi le symbole de la lumière pour parler de Dieu. Ils disent aussi qu’Allah est lumière. La lumière d’Allah, « noor », est aussi ce Dieu qui est la lumière des cieux et de la terre. Elle va descendre à travers le Coran que révèle le prophète. « Allah est la Lumière des cieux et de la terre. Sa lumière est semblable à une niche où se trouve une lampe… » (Coran Sourate 24)

Et pour nous chrétiens ?

La lumière d’amour est la nature et l’être même de Dieu qui est infini, éternel. Cette lumière est en même temps ce torrent d’amour à l’intérieur de ce Dieu qui se révèle à nous. Dieu est lumière en ce sens qu’Il est le seul être qui se connaît parfaitement Lui-même. Personne ne se connaît d’une manière limpide, plus transparente, sinon Dieu. Dieu a cette connaissance parfaite de Lui-même en engendrant éternellement Son Verbe. À travers ce Verbe, qui est le Fils, Dieu parle à Lui-même.  La Parole éternelle devient ainsi le reflet parfait de ce qu’est le Père dans la Trinité. À l’origine, le Verbe était la Parole et la Parole était Dieu, elle était la véritable lumière (Jean1, 1…). Le Fils en tant que Parole dans la Trinité, est l’expression parfaite de ce qu’est le Père. En effet, le Père qui Lui donne tout ce qu’Il a, tout ce qu’Il est, tout Son amour. Jésus est ainsi Lumière et Amour.

La lumière est Dieu, mais elle est aussi Sa première création ?

Dieu en tant qu’être de lumière et d’amour est Créateur de l’univers. Il ne peut créer que ce qu’Il est. C’est ainsi que Sa première création est la lumière. « Que la lumière soit et la lumière fut. » (Gn 1 : 2 – 4). Elle devient alors une créature de Dieu, à travers la Parole, qui est l’expression de l’amour du Père. La lumière, sera au cœur de toute création. Elle a trois fonctions essentielles.

Quelles sont ces fonctions ?

1. La première fonction est la séparation. En créant la lumière, Dieu établit la séparation du chaos, de l’abîme et du vide en y introduisant de l’ordre. Il sépare ce qui est, de ce qui n’est pas. « Il sépara la lumière des ténèbres. Il appela la lumière ‘jour’ et les ténèbres ‘nuit’. Il y eut un soir, il y eut un matin. Ce fut le premier jour. » (Gn 1 : 4 – 6). En séparant, Dieu crée aussi tout ce qui existe. Il sépara la terre ferme de la masse des eaux, les eaux inférieures des eaux supérieures.

2. La deuxième est l’orientation. La lumière indique le chemin dans les ténèbres. Elle donne une connaissance de la fin des êtres créés. Elle permet de comprendre le pourquoi de l’existence, le pourquoi du monde, du rocher, de l’arbre, de l’océan, etc. Elle permet de comprendre la finalité des choses. Comme la lumière au fond d’un tunnel qui indique un chemin, elle nous conduit dans la vérité toute entière parce qu’elle est orientation. Elle s’oppose et se confronte à l’obscurité pour donner une direction. L’obscurité est une forme d’ignorance, d’égarement qui vide de sens l’existence humaine et du monde.

3. La troisième est la transformation. Elle a la capacité de nous transformer de l’intérieur. En nous pénétrant et nous purifiant, la lumière nous rend notre vraie identité lumineuse. Il suffit d’un rayon de lumière pour transformer une fleur, une couleur, un vitrail, les arbres des forêts. En venant dans l’humanité, Jésus nous rappelle que sa mission est de la transformer. Il transforme notre finitude en éternité. Il transforme notre souffrance en guérison, notre mort en vie éternelle. C’est toute notre vie qui est transfigurée par la lumière qu’est le Christ. Jésus est venu allumer un feu sur la terre.

Et comment ces trois caractéristiques parlent-elles à l’être humain ?

On trouve en Dieu ces trois caractéristiques de la lumière. Créé par Dieu, l’humain porte quelque part la lumière en lui. Et pour en bénéficier, il est appelé à entrer dans une vie de communion, d’amitié, d’intimité avec ce Dieu de lumière qui opèrera de multiples séparations ou conversions en chaque être humain qui vient à Lui. Les ténèbres se transformeront alors en lumière, le matériel en spirituel, le mortel en l’immortalité, etc. Dieu qui est lumière orientera aussi l’humain vers une meilleure connaissance de soi-même. Son amour le purifiera et le transformera à Son image, l’image de Dieu lui-même.

« Je suis la lumière du monde », dit Jésus-Christ. Pouvez-vous développer un peu plus cette phrase ?

Jésus est la Parole éternelle du Père. Cette Parole est lumière qui s’est ensuite incarnée dans une personne humaine, et Jésus est la porte à travers laquelle nous sommes introduits dans la foi chrétienne. Pour nous chrétiens, c’est une grâce, voire une bénédiction que de savoir que la Parole s’est faite chair et s’est incarnée dans notre humanité à travers la personne du Christ. En prenant la nature humaine, Jésus introduit dans toute personne cette lumière qu’il porte en lui. Jésus est la lumière qui vient éclairer notre humanité de l’intérieur : notre réalité corporelle, notre intelligence, notre affection, notre amour, nos actions, nos capacités de prendre des décisions, notre volonté etc. Bref, l’incarnation de Jésus éclaire notre nature humaine.

Saint Jean, dans son prologue, rappelle que ceux qui accueillent le verbe, c’est-à-dire Jésus, participeront à sa nature qui est lumière du monde. Ces personnes recevront la plénitude de la grâce et deviendront enfants de Dieu. Une fois éclairés par la lumière du monde, elles auront une meilleure connaissance d’elles-mêmes. Dans le mystère de sa Passion et de sa résurrection, le Christ arrache l’humanité des ténèbres définitives et l’introduit dans sa lumière, la vraie lumière de Dieu. Ainsi, par sa mort et sa résurrection, le Christ vient illuminer la vie de tout être humain qui croit en lui. Il vient le sauver de tout ce qui pourrait l’enfermer dans les ténèbres de la mort. Il vient partager avec lui la vie éternelle.

Dans son incarnation et sa résurrection, Jésus réalise aussi ce que le prophète Isaïe a annoncé…

Exactement. Isaïe a annoncé que désormais, ce peuple qui marchait dans les ténèbres a vu une grande lumière. Le peuple d’Israël, qui est la figure de toute l’humanité, errait dans le chaos et était sans orientation. La vie, l’enseignement et les miracles de Jésus nous révèlent la raison de notre existence. De même, chacun de nous est appelé à marcher vers la lumière du Christ qui nous orientera et nous aidera à retrouver notre chemin de vie.

Dieu rappelle qu’Il est aussi une colonne de feu…

Le peuple d’Israël va, durant sa marche vers la terre promise, faire l’expérience d’une véritable renaissance. Il devient alors un nouveau peuple qui quitte l’esclavage, la souffrance, l’exclusion, le mépris, la division. Il va exister autrement. Dieu sauve Son peuple en l’orientant, en le transformant et en le faisant renaître. Cette traversée est une reprise du buisson ardent que Moïse a expérimenté dans sa rencontre avec Dieu sur le Mont Sinaï (Exode 3,2). À travers ce feu, Dieu promet qu’Il se fera connaître. « Je suis qui je serai. » Dieu est la lumière qui prend la forme d’une colonne de feu pour conduire Israël dans sa traversée du désert, pour orienter la nouvelle destinée de Son peuple (Exode 13, 21).

Il y a aussi un paradoxe : en créant la lumière, Dieu créa aussi les ténèbres ?

L’autre facette de la lumière, c’est les ténèbres. En créant la lumière ou encore des êtres de lumière, surgit en même temps cette autre facette ténébreuse qui apparaît dans la création. Le jour fait apparaître la nuit, le mal fait surgir le bien, le péché fait apparaître la grâce, la mort fait apparaître la vie, la haine met en lumière l’amour.

Mais si nous sommes habités par le Christ, la lumière du Christ habitera aussi en nous. Elle nous donnera l’aptitude de voir au-delà des ténèbres. Le Psaume 138 dit : « Pour toi-même les ténèbres est la lumière ». Il n’y a de fait, point de ténèbres pour Dieu qui est lumière. Si nous accueillons la lumière du Christ dans notre histoire personnelle : nos conflits, nos confusions ou nos malentendus, nos incompréhensions, toutes les zones d’ombres se transforment en lumière, en vérité.

Qu’en est-il de la lumière dans la liturgie ?

Elle a une place centrale dans la célébration de Pâques qui est la source de toutes les célébrations. La résurrection du Christ est une re-création où Jésus lui-même est acclamé comme le premier-né de cette nouvelle création. De même, au cœur de la nuit pascale, les fidèles sont appelés à renaître. La lecture du Livre de la Genèse durant cette veillée pascale nous invite à réinterpréter le récit de la création. Au tout début de la veillée, un feu est allumé. On le bénit d’abord et avec ce feu, le cierge pascal est allumé, cierge qui représente le Christ accueilli et acclamé dans toute l’assemblée.

Le peuple de Dieu rassemblé écoute ensuite les récits de la révélation de Dieu à la lumière du Christ ressuscité qui aide les fidèles à mieux comprendre la Parole de Dieu et leur donne une orientation dans leur histoire, dans leur vie.

Durant cette veillée pascale, on célèbre aussi des baptêmes. Durant le sacrement du baptême, le célébrant prend la lumière du cierge pascal et la communique à la famille et à l’enfant qui reçoit le baptême. La phrase utilisée : « Recevez la lumière du Christ… » Recevoir le baptême, c’est exprimer son désir de recevoir la lumière du Christ dans sa vie.

Et pour les autres sacrements et cérémonies ?

Le symbole de la lumière est repris durant la célébration du sacrement de la confirmation où tous les enfants portent une lumière en procession, rappelant  celle du Christ dans leur vie. Le récit de la Pentecôte, lu durant la célébration, évoque l’apparition des langues de feu sur les apôtres.

La lumière du Christ est présente aussi durant chaque célébration eucharistique. Elle est représentée par une bougie allumée posée sur l’autel. De plus, dans chaque église, une lumière est toujours allumée à côté du tabernacle. Traditionnellement, c’était une lumière vivante pour signifier la présence de Jésus dans le tabernacle. Pour des raisons de sécurité, de nos jours on y installe une lumière artificielle qui est continuellement présente. Les célébrations des funérailles débutent habituellement par la présentation d’une lumière pour rappeler qu’au terme de sa vie, le baptisé entre dans la lumière du Christ.

Nombreux sont ceux qui mettent leur lampe allumée sous le boisseau…

Ceux et celles qui ne retrouvent pas la lumière du Christ au quotidien sont souvent ceux qui sont pris dans le cycle infernal de la vie : travail excessif, occupations quotidiennes, difficultés, maladies, conflits, fléaux, plaisirs, matérialisme, pratiques occultes ou superstitieuses, etc. Ces derniers ont une connaissance erronée de la vie. Ils n’ont plus de repères. Tout ce que le monde leur offre n’arrive pas à les assouvir. Ils se laissent écraser par le poids de la vie. Leur vie n’a plus de sens. Ces personnes ont toujours faim et soif
du bonheur, de la paix, de la joie, de la tranquillité. Elles sont souvent en quête d’une lumière qui pourrait les aider à continuer leur route.

Et comment les aider à la chercher ?

Les aider ne consiste pas à tout faire pour elles, mais surtout en étant pleinement soi-même. Retrouver notre intégrité nous permettra d’être pour les autres ce que nous sommes sous le regard de Dieu. Une simple présence, le témoignage d’une vie authentique peuvent être la manière la plus simple d’aider ces personnes souvent dans l’ombre à retrouver l’espérance qui les habite au fond.

La deuxième manière, c’est de les accompagner dans une relation d’amitié simple et ouverte. Une amitié qui les encourage, les valorise et les soutient dans des moments difficiles. Une telle amitié les aidera à voir qui elles sont réellement. Elles découvriront l’amour enfoui au fond d’elles-mêmes et commenceront à croire en l’amour. Cela les aidera ainsi à retrouver le désir d’aimer et de grandir.

La troisième manière de les aider est de risquer une parole qui leur permettra de se définir et de nommer ce qu’elles ressentent, ce qu’elles éprouvent, ce qu’elles désirent.

Une parole qui les éclairera et les aidera à trouver sens à leur vie. Au-delà d’une parole humaine, nous pouvons aussi risquer une parole de Dieu qui peut les remettre en route vers la lumière qui les habite.

Vivre dans les ténèbres, c’est quoi au juste ?

Si Dieu comme lumière transforme pour créer, le mal est lui une force destructrice qui agit avec la collaboration de l’homme. Il ne faut pas perdre de vue que depuis la création, le mal est très présent dans le monde. Il agit d’une manière organisée et invisible. Cette force ténébreuse et diabolique nous désoriente et nous déstabilise. Une personne qui vit dans les
ténèbres est rongée par le mal.

Le mal à travers le mensonge et l’illusion afin de fausser notre capacité de comprendre et de saisir la vérité. Il passe à travers l’alcool, la drogue, la violence, les pensées négatives sur les autres, la critique, le désespoir, la méfiance, le découragement, la peur, la maladie, toute forme de fragilité humaine. Il passe aussi par les faiblesses de notre société telles que le communalisme, notre système éducatif, notre système économique ainsi que les médias. Ces personnes touchées par le mal ne croient plus à la vie, elles voient du noir partout.

Bref, la ruse du mal passe à travers les plus petites portes de faiblesse d’une personne ou encore d’une société pour semer la discorde et la division. D’où l’importance d’un discernement dans notre vie pour pouvoir distinguer le bien du mal, choisir la vie et non la mort.

Le mal engendre le mal. La lumière attire-t-elle la lumière ?

Tout à fait. Les personnes qui restent dans la lumière sont celles qui vivent dans la prière, la vérité, le pardon, la justice, le respect de l’autre, l’amour du prochain, le partage, la solidarité, la fraternité, l’humilité, la simplicité de vie. Une communion s’installe automatiquement entre les personnes qui vivent dans ce climat de lumière. Tous ceux qui y baignent sont attirés par la lumière. Dieu se révèle à ceux qui Le cherchent avec un cœur sincère.

Et comment reconnaître de telles personnes ?

On les reconnaît souvent par l’authenticité de leur vie. Elles n’ont pas de faux-semblants, de fausses apparences. Ces gens sont bienveillants par rapport aux autres. Ils possèdent une compréhension, et font montre de compassion envers autrui. Certaines s’expriment par de grandes actions et de par leur dévouement. D’autres laissent briller leur lumière dans les choses simples de la vie.

Qu’avez-vous à déclarer aux personnes qui disent marcher avec Dieu et se qui se plaignent d’être toujours dans les ténèbres ?

Je leur demanderai de s’interroger : qui est leur Dieu ? En quel Dieu croient-elles ? Qui est ce Dieu en qui elles ont remis leur vie ? Une fausse conception de Dieu peut pousser ces personnes à croire qu’elles sont dans les ténèbres. Quand on connaît le vrai visage de Dieu, notre prière sera transformée. On entrera en relation avec Lui différemment et cela changera notre compréhension de la vie du monde et notre propre existence. Bref, la connaissance de Dieu est fondamentale, car elle conditionne notre relation à Dieu et au monde.

Un mot de la fin pour nos lecteurs…

Je termine avec une pensée de saint Paul. Nous avons une connaissance imparfaite de nous-mêmes
et du monde. Nous voyons tout, de manière confuse, comme dans un miroir. Mais quand la lumière du Christ illuminera toute notre vie, notre intelligence, notre amour, alors nous nous connaîtrons tels que nous sommes connus, aimés et désirés par Dieu. Nous verrons alors Dieu tel qu’Il est.

Propos recueillis par Sandra Potié

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