1ere étape
TROU-FANFARON
ARRIVEE DU PERE LAVAL
Père Laval a quitté sa Normandie sans esprit de retour.
Vers 15 heures, le lundi 13 septembre, après cent jours de traversée, le Tanjore entre enfin en rade de Port-Louis, mais le médecin qui doit visiter le navire remet son inspection au lendemain, « lundi cordonnier ». Père Laval passe toute la soirée sur le pont, les yeux fixés sur la ville. « Quelques jours avant sa mort, il aimera encore à se rappeler les vives impressions de zèle et de courage qui passent et repassent dans son âme. »
Mgr Collier, le P. Laval et les autres prêtres débarquent à Port-Louis, le 14 septembre. vue la position du gouverneur Smith par rapport à Mgr Collier et vu le contexte dramatique – incendies criminels et agressions – l’arrivée du Vicaire apostolique avec ses quatre prêtres ne fut marquée par aucune manifestation de joie. Comme c’est le jour de la fête de l’exaltation de la Ste Croix, le P. Laval se pencha vers Mgr Collier pour lui dire : « Monseigneur quel beau jour pour prendre possession de votre vicariat, quel bon augure pour nos travaux ! Les croix ne nous manqueront pas, mais c’est par la Croix que le divin Maître a sauvé le monde. »
MISSION D’EMILIEN PIERRE
A la Cathédrale, nous reparlerons d’Emilien Pierre et de sa conversion, mais ici, souvenons-nous de la chapelle qu’il avait ouverte à Trou-Fanfaron, N.-D. de Bon Secours.
Quand le Père Thévaux fait l’éloge du Père Laval, on a l’impression qu’il parle d’Emilien, tant celui-ci est devenu un fidèle disciple : « Cœur ardent, généreux, dévoré d’un saint désir de donner de nouvelles âmes à Jésus et à Marie …, puissamment aidé de la grâce divine qui dirige ses pas …»
« Humble apôtre de la charité … Instrument des miséricordes de Marie près des âmes les plus pauvres et les plus abandonnées … Pauvre enfant de la Vierge, ignoré de tous si ce n’est de ceux qui partagent son humble condition … Humble catéchiste qui tant de fois nous a aidés dans notre ministère apostolique ».
L’occasion de cet éloge sera le récit d’une initiative d’Emilien qui donne la mesure de son zèle. En 1856, sur le Canal de Mozambique, un navire anglais avait trouvé et saisi deux cents Africains de 18 à 30 ans qui, destinés aux plantations d’Amérique, furent débarqués à Port-Louis. Là, comme c’était la coutume, ils furent engagés et, pour la plupart, dispersés dans les différents districts de l’île. Deux ans plus tard, beaucoup résidaient dans la capitale où ils faisaient un travail long et pénible.
Ils croupissaient dans des dortoirs sordides.
Emilien est touché de leur misère, de l’ignorance et de l’abandon dans lesquels vivent ces esclaves déguisés. Aidé des conseils du Père Laval, il va de case en case et parle de Dieu à ces Africains avec tant de conviction qu’ils expriment le désir d’être préparés au baptême. Il en groupe une quarantaine, dans sa chapelle de Notre-Dame de Bon-Secours. Chaque jour, pendant plus de six mois, sitôt leur travail terminé et jusque bien tard, ils se réunissent pour écouter Emilien ou le missionnaire chargé de leur dernière préparation.
Ils sont quarante à être admis au baptême. Il faut donc trouver quatre-vingts parrains et marraines. Selon l’habitude du Père Laval, on choisit seulement de bons persévérants, des couples de préférence ou tout au moins des amis. Plusieurs réunions aident parrains et marraines à prendre conscience des engagements qu’ils vont prendre.
La cérémonie de baptême a lieu à Sainte-Croix, le 10 juillet 1859. Aucun journal ne la relate, mais parrains et marraines affectionnent leurs filleuls comme de nouveaux frères. Cette remarque en dit long. Par son initiative en faveur de ces malheureux Africains, Emilien ne les a pas seulement introduits dans la lumière de l’Evangile, il les a sortis de leur isolement social.
AAPRAVASI GHAT
2° ETAPE
LA PRISON
COMPASSION POUR LES PLUS ABANDONNES
La libération des esclaves, mal préparée, a eu pour effet de remplir les prisons : l’oisiveté, l’ivrognerie et les crimes se multiplient tant chez les anciens esclaves que chez les travailleurs engagés Indiens.
Pour avoir un aumônier, les prisonniers ont dû attendre l’arrivée du Père Laval ; Il écrit en février 1842 : « Monseigneur a obtenu la permission d’envoyer aux prisons un prêtre pour enseigner ces malheureux… et c’est sur moi que Notre-Seigneur a jeté les yeux pour aller porter quelque consolation à ces pauvres affligés. »
Laval se rend à la prison deux fois par jour. Il fait réciter aux hommes la prière du matin et leur fait une brève exhortation ; puis il se rend dans la section réservée aux femmes. Le tout dure à peu près trente minutes. Le soir, de cinq heures à cinq heures trente, nouvelle prière, nouvelle exhortation. Le dimanche, les prières sont suivies d’une séance de catéchisme ; il est avec les prisonniers de sept heures à huit heures trente le matin ; de trois à cinq heures l’après-midi.
Aumônier sans chapelle, Laval prend la prison comme elle est. Il baptise aussi et alors, pour donner des parrains et marraines à ses néophytes, il se fait accompagner par des catéchistes et des conseillères.
Il reste évidemment le père des détenus qui sortent de prison. Il veille de très près à leur réinsertion dans la société ; parrains et marraines jouent alors pleinement leur rôle et, au fil des ans, on verra augmenter le nombre de ces prisonniers devenus « d’honnêtes ouvriers, pères de famille, donnant les exemples les plus édifiants à tous ceux qui les connaissent ».
Après 1851, la plupart des condamnés à mort sont des laboureurs indiens. Laval les aborde avec l’aide d’un interprète. Subjugués par sa bienveillance, presque tous les condamnés se laissent instruire et reçoivent les sacrements. Laval les accompagne de la prison à l’échafaud et les soutient jusqu’au dernier moment.
Un soir, on l’entend dire d’un Indien pendu dans la journée : « Si cet enfant ne va pas au ciel, personne n’y entrera. »
Depuis que le P. Laval a commencé son apostolat, il y a un réel changement : le Gouverneur lui-même doit reconnaître que « le nombre des accusés pour crime de la classe émancipée a toujours été en décroissant… et aujourd’hui tout le monde, même les avocats, sont étonnés quand ils voient assis sur le banc des accusés un ancien esclave ».
Jean-Marie Prosper, cocher, a pris contact avec le Père Laval dans le courant de 1843. Le missionnaire a fait confiance à ce créole de 21 ans, sympathique, débrouillard, pourvu d’une certaine instruction.
Jean-Marie Prosper n’enseigne le catéchisme qu’à son domicile, rue des Yoloffs. Il accompagne parfois le Père Laval dans ses visites à la prison ou à l’hôpital de Grand-Rivière.
3° ETAPE
LA CURE DE LA CATHEDRALE
LA MISSION DES NOIRS
Pendant les premières années de son apostolat, Père Laval ne sort pas de Port-Louis où il fonde, humblement, la Mission des Noirs. Il emploie tout son temps, toutes ses forces à catéchiser des ignorants dont, à force de patience, il arrive à faire de solides chrétiens. Dès le début, il s’est attiré l’aide de plusieurs servants de l’église Saint-Louis où il baptise et bénit les mariages.
En premier, il faut nommer Alphonse Lavoipierre, il est à la fois sacristain et secrétaire de la Fabrique de l’église. Instruit et chrétien convaincu, il est fier d’avoir, introduit dans son pays l’œuvre française de la Propagation de la Foi.
Et parmi tant d’autres, Édouard Labelle : il est « estropié des deux jambes » Laval l’associe à ses travaux en avril 1843. Après avoir fréquenté plusieurs mois la chapelle du petit pavillon et suivi les catéchismes du soir à l’église, il est devenu le premier catéchiste du Père Laval qui est de plus en plus occupé par les confessions.
Une femme, Ma Céleste : « La bonne Céleste » n’a pas cessé, pendant une période de vingt années, d’instruire les plus ignorants. Quoique d’une santé délicate et vivant du travail de ses mains, elle trouve encore le temps de visiter plusieurs malades chaque jour. Lorsqu’elle vient prévenir le missionnaire, il n’est pas rare qu’elle le conduise successivement chez trois, quatre ou même six malades. Elle a procuré les secours de la religion à plusieurs milliers de malades qu’elle avait elle-même préparés avec une patience et une bonté admirables. »
4° ETAPE
LE CHAMP DE LORT
DES MAISONS DEVENUES CHAPELLES
Pierre et Marie Zélima BELLONI : En 1846, on commence à parler de « la chapelle de Belloni » … Quelle était cette chapelle ? Peut-être celle de Saint-Joseph, au faubourg de l’Est, qui avait été aménagée « dans une maison donnée par une dame de couleur » ; peut-être celle de N.-D. du Refuge, dans le bas de la rue Madame (Volcy Pougnet aujourd’hui), au Champ-de-Lort. Ce qui est sûr c’est que, fidèlement secondé par Marie Zélima, Pierre instruisit un grand nombre de Malgaches et de Mozambiques.
Louis Ricaud et Thérèse Magnée : Louis Ricaud et Thérèse Magnée tenaient une épicerie dans le haut de la rue Madame, au Champ-de-Lort. Vers 1845, ils commencèrent à enseigner le catéchisme dans leur maison. En 1846, devant l’affluence des catéchumènes, ils prennent la décision de transformer celle-ci en une chapelle qui fut dédiée à saint Paul. C’est la quatrième des chapelles bénites du temps du P. Laval.
Depuis Janvier 1841, Imelda Lavoipierre, au moins pendant quinze ans, sera la directrice de la première école catholique pour fillettes noires. Cette école, située à la rue de la Poudrière, n’aura pas d’autre aumônier que le P. Laval.
5° ETAPE
LA MONTAGNE DES SIGNAUX
N.-D. DES SEPT DOULEURS
Joséphine François et Virginie Vallet conseillères au Champ-de-Lort :
Depuis 1839, Le Champ-de-Lort se prolonge jusqu’au-delà de la Montagne des Signaux, par une zone de baraques misérables. C’est là que se sont réfugiés les plus pauvres des ex-apprentis. On y trouve, par ordre d’importance, des Malgaches, des Mozambiques, des Créoles, des Indiens et des Malais.
Joséphine François et Calixte Sozié y habitent. A l’égard des malades, elle manifeste un véritable charisme. Très tôt, le Père Laval lui a donné pour adjointe Virginie Vallet, jeune femme mariée à Saint-Gilles Hippolyte. Ceux-ci doivent au Père Laval leur instruction religieuse.
Au début de 1846, Joséphine et Virginie ne sont que conseillères. Il leur faudrait une chapelle. Or, près de la case de Calixte, au sommet de la Montagne mais sur le versant opposé à la ville, une maison est à vendre. Elle est achetée pour 150 piastres prises sur la Caisse des pauvres. Un petit autel, une statue de la Vierge et une voûte de grosse toile lui donnent un petit air d’église. Le Père Laval vient la bénir sous le vocable de N.-D. des Sept-Douleurs.
Le cyclone de 1848 qui renversa de nombreuses maisons et quelques chapelles, fournit à Joséphine l’occasion de manifester son courage et sa foi. En pleine nuit, la catéchiste se rend à la chapelle dont les fenêtres ont été enfoncées par la violence du vent. L’édifice penche tantôt d’un côté tantôt de l’autre et, à chaque instant, menace d’être renversé. Joséphine s’agenouille et s’adresse à la Vierge : « Vous ne laisserez pas tomber votre chapelle ou bien vous m’écraserez sous ses ruines ! » Quand au matin l’ouragan s’apaise, la chapelle est toujours debout « préservée par un prodige qui tient du miracle ».
La grande chapelle de N.-D. des Sept-Douleurs, au Champ-de-Lort, est utilisée comme église paroissiale de secours. Le dimanche matin, environ 600 enfants y assistent à la messe ; l’après-rnidi, la petite persévérance y chante les vêpres et y écoute une instruction.
La chapelle N.-D. des Sept-Douleurs ne survécut que peu de temps à sa « fondatrice ». Vers 1856, elle fut démolie par un autre cyclone. Comme en mars 1854 l’abbé Masuy avait accepté de construire, dans une position beaucoup plus centrale, l’église de l’lmmaculée-Conception, on ne jugea pas nécessaire de reconstruire une chapelle perchée sur le haut de la montagne.
6° ETAPE
ROCHE-BOIS
A la croisée des rues de la Sainte famille et Julius BOUCHERAT s’élevait à l’époque du Père Laval et encouragé par lui, la « CHAPELLE DE LA SAINTE FAMILLE ». De nos jours encore, une cité dans Roche-Bois porte le nom de cette chapelle aujourd’hui disparue.
En signe de respect, à la mémoire des fondateurs de leur communauté chrétienne, les habitants du quartier ont même donné des noms de rues à deux d’entre eux : Aimé DOROTHEE et Suzette QUATRE-BORNES.
Aimé Dorothée était un maçon qui enseignait le catéchisme à la chapelle de la Sainte-Famille. La conseillère du quartier était Marie-Suzette Quatre-Bornes, épouse depuis 1844 de Joseph Rosalie. Nous avons retrouvé son souvenir grâce au récit de sa mort inséré dans une conférence faite en France, en 1852, par le P. Thiersé : « J’avais une pénitente nommée Suzette, conseillère dans le quartier de la Sainte-Famille ; elle eut une maladie de poitrine ; je lui administrai les derniers sacrements qu’elle reçut avec une grande dévotion ; elle resta dans un grand recueillement toute la journée. Le soir, le catéchiste rassembla tout le monde auprès d’elle pour prier ; tout d’un coup, sa figure change, elle ouvre les yeux regardant un endroit fixe en disant : « Oh ! qu’elle est belle ! Qu’elle est belle ! ». Le catéchiste lui demande : « ki ou trouve, Suzette ? » Elle lui dit : « La Sainte Vierge. Oh ! qu’elle est belle ! » – « Et ki li dir ou ? » – « Elle m’appelle ». – « Eh bien, ale donc, si li apel ou » – « Oui, oui, mo ale ». Elle était morte ».
7° ETAPE
NOTRE DAME DE LA DELIVRANDE
Marie Euphrasie, baptisée en juillet 1842 est mariée, à Jean Jupiter. Après avoir vécu à Port-Louis, les Jupiter se fixent à la Montagne-Longue, à mi-chemin entre la capitale et Pamplemousses. Ils ouvrent leur case à tous ceux qui veulent se convertir et Marie leur transmet ce qu’elle a retenu elle-même de l’enseignement du P. Laval.
Les catéchumènes sont bientôt si nombreux que la case des Jupiter ne peut plus les contenir. A cette époque, heureusement, arrivent de la capitale, deux jeunes créoles : Thomy Lamour et Amélie Magdeleine. Thomy est un petit homme qui n’a que la peau et les os, intelligent, vertueux, tout dévoué au Père Laval. Puisqu’il faut une chapelle, il prend la direction des travaux. Pendant qu’il dirige la construction, Amélie, à la tête d’une bande de femmes, assure le transport des pierres, des planches, des palissades. La chapelle de la Montagne-Longue peut recevoir une centaine de fidèles.
Elle est déjà trop petite quand, en mars 1848, elle est abattue par un cyclone. Personne ne se décourage. Charles Max Millien et Mimi Mangoust, son épouse, offrent gracieusement un grand terrain mieux situé. Thomy et Amélie réorganisent leurs équipes et la nouvelle chapelle, debout en 1849, peut recevoir 1.000 fidèles. Un missionnaire vient y célébrer la messe le dimanche ; pendant la semaine, Thomy et Amélie y président les réunions du soir.
En plus de ses caractéristiques architecturales, la chapelle est doublement un cadeau du Père Laval à l’Ile Maurice : dans la croix devant l’église, une simple croix en cuivre est incrustée ; c’est un souvenir de famille du Père Laval : son oncle avait caché cette croix durant la Révolution Française.
La chapelle est dédiée à la Vierge Marie sous le nom de Notre-Dame de la Délivrande ; c’est un lieu de pèlerinage célèbre en Normandie que Père Laval avait fréquenté. Il y a 140 ans cette année, 8 ans après la mort du Père Laval, la Vierge normande est couronnée ; et dès 1874, les Spiritains organisent des pèlerinages à Montagne-Longue depuis Port-Louis.
8° ETAPE
SAINTE-CROIX
Zamor Bongoût, le fondateur de Sainte-Croix :
Zamor est né à Pondichéry vers 1790. Il vient comme esclave à Maurice. Ses succès culinaires lui valent le surnom de Bongoût. Il est libéré en 1830. Actif et débrouillard, il fait fortune dans la restauration. En 1843, il achète à peu près dix hectares de terres à la Prairie.
Un jour de 1847, heureux de sa conversion, de la réussite de ses enfants et de ses affaires, il vient dire au Père Laval : « Je voudrais bâtir une chapelle, – En quel endroit voulez-vous construire cette chapelle ? – A la Prairie, sur l’une des extrémités de ma propriété. – Mais il n’y a personne dans cet endroit ! – Na rien sa, zot va vini. – Eh bien ! Monsieur Zamor, faites la ! elle portera le nom de Chapelle de la Sainte-Croix ». Elle fut bénite par Mgr Collier, le 18 juin 1848.
« La Prairie », est centrale pour les habitants de la Vallée-des-Prêtres. Alors, les deux dimanches suivants, la chapelle est pleine et une grande foule doit rester dehors. Les Pères veulent donc d’ajouter une grande nef. La chapelle serait le chœur du nouvel édifice. Zamor refuse car, pour cela, il faut démolir son clocher. Un violent orage renverse la cloche et le clocher, tout en laissant intacte la muraille ; y voyant un signe du ciel, Zamor accepte l’agrandissement.
A peine terminée, la chapelle devient le centre d’une communauté vivante. L’église de la Sainte-Croix passe de 200 à 1.500 places ; elle est encore trop petite. Le P. Baud refait le chœur et ajoute un transept,. Elle sera bénite une nouvelle fois le 29 janvier 1860. A la fin de la cérémonie, le Père Laval demandera à ses enfants de l’enterrer auprès de la croix élevée devant cette église. Ce vœu du Père Laval aurait réjoui le fondateur de la chapelle Sainte-Croix ! Mais Zamor était mort depuis janvier 1856, victime de variole.
Zamor Bongoût ne fut jamais catéchiste. Pourtant, sa chapelle de la Prairie plusieurs fois reconstruite, est devenue le sanctuaire mauricien le plus populaire. Le quartier porte le nom de Sainte-Croix ; aujourd’hui, seule une rue, rappelle le nom de « La Prairie ».
RETROUVONS ET HONORONS
NOS ANCETRES DANS LA FOI :
Cherchons bien, peut-être que, parmi eux, nous retrouverons quelqu’un de notre famille ou quelqu’un qui a travaillé pour notre Communauté paroissiale.
Cathédrale AVRIL Clémence
Cathédrale KILLY Faustin
Cathédrale HINAF Joseph
Cathédrale VINCENT Fanchette
Cathédrale LAVOIPIERRE Alphonse
Cathédrale LAVOIPIERRE Irma
Cathédrale LOUISE Marie
Cathédrale JOSEPHINE Charles
Cathédrale MAGDELEINE Jean-Pierre
Cathédrale LABELLE Edouard
Cathédrale CLAIRE Marie
Vallée-des-Prêtres BENOIT Hippolyte
Rochebois DOROTHEE Aimé
Rochebois QUATRE-BORNES Suzette
Champ-de-Lort FRANÇOIS Joséphine
Champ-de-Lort HIPPOLYTE Saint-Gilles
Champ-de-Lort BELLONI Pierre
Champ-de-Lort ZELIMA Fidèle
Champ-de-Lort VALLET Virginie
Champ-de-Lort SOZIE Calixte
Champ-de-Lort RICAUD Louis
Champ-de-Lort MAGNEE Thérèse
Champ-de-Lort MARIELUS Sylvanie
Champ-de-Lort DEROULLEDE Clémentine
Port-Louis COUBA Jean-Marie
Port-Louis DESIREE (Bonne femme)
Port-Louis EQUERRE Amédée
Port-Louis FRONTIN Vve (Louise Marie)
Port-Louis JEANNE Clémentine
Rue du Commissaire HENRY Célestine (Ma Celeste)
Port-Louis LARIDON Léonisse
Port-Louis METRILOGUE Alcide
Port-Louis LOUIS Furcy
Port-Louis MOUNIER Angéline
Port-Louis PRET-A-BOIRE Marcellin
Port-Louis RABOT Gustave
Rue Yoloffs PROSPER Jean-Marie
Sainte Croix ZAMOR-Bongout
Sainte Croix LARIDON Hippolyte
Sainte-Croix MAHOMET Victor
Sainte-Croix MOUSTAPHA
Sainte-Croix LETARD Louis
Nicolay PIERRE Emilien
Niicolay LASAGE Estelle
Petite Rivière MEZELLE Jean-Marie
Petite Rivière SANS-FACON Charles
La Savanne ANGELINA Marie
Flacq SAINT-LOUIS
Plaines-Wilhems BABET Emilie
Plaines-Wilhems MAI Antonine
Plaines-Wilhems CAYRON Madeleine
Plaines-Wilhems LAPIERRE Georges
Plaines-Wilhems MARIE Eugène
Nouvelle Découverte BONNASSE Edouard
Pamplemousses CALLE Marie
Pamplemousses EUPHRASIE Marie
Pamplemousses JACQUES Jean
Pamplemousses JUPITER Jean
Pamplemousses LE COQUIN Jean
Rivière Noire DESFOSSES Phanie
Rivière Noire GUSTAVE Laridon
Moka FRANÇOIS Elodie
Moka MAI Amédée
Bambous TRANQUILLE Edmond
Bambous TOUPET Eléonore
Bambous SCIPION Jean
Bambous MAI Désiré
Bambous MAI Hortense
Montagne Longue LAMOUR Thomy
Montagne Longue MAGDELEINE Amélie
Rivière du Rempart MAZERY Adélia
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