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Lectio Divina (27 mars 2011)

27/03
2011
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3e dimanche de Carême, Année A

 Jn 4, 5-42

Introduction

La « Lectio Divina » est une manière de chercher à entendre la parole que Dieu nous adresse à travers un passage de la Bible, et à y répondre. Elle comprend 3 parties :

  1. une lecture attentive du texte dans son contexte ;
  2. une écoute intérieure de la Parole de Dieu, de l’appel qu’il nous fait aujourd’hui à partir de ce texte ;
  3. un temps de prière (personnelle ou en groupe) pour donner sa réponse à l’appel que nous fait le Seigneur.
  1. 1.      Lire un texte :

1.1.  Contexte

Jésus rentre d’un séjour à Jérusalem où il s’était rendu pour la Pâques (ch 2, 12).

Pour rentrer chez lui en Galilée après la fête, Jésus traversa la Samarie. Or, les Juifs méprisaient et détestaient les Samaritains parce que ce peuple était issu d’un métissage entre les envahisseurs mésopotamiens (autour de 721 B.C.) et les  Juifs restés là et n’ayant pas été déportés en exil à Babylone. Les envahisseurs avaient apporté avec eux leur religion et leurs coutumes païennes qui s’étaient répandues et mélangées à celles des Juifs de Samarie. C’est pourquoi les Juifs considéraient les Samaritains comme un peuple à moitié paien.

Au retour de l’Exil des Juifs de Babylone, les Samaritains s’étaient offerts pour contribuer à la reconstruction du temple de Jérusalem. Mais les Juifs avaient refusé. Les Samaritains avaient alors construit leur propre temple sur le Mont Garizim, consommant ainsi leur schisme avec les Juifs.

1.2.  Déroulement du texte

Notre texte comprend 3 parties

  1. Jésus et la Samaritaine (4, 5-26)
  2. Jésus et ses disciples (4, 27. 31-38)
  3. Jésus et les Samaritains (4, 28-30. 39-42)
  1. Jésus et la Samaritaine (4, 5-28)

Cette section est en fait un long dialogue entre Jésus qui se repose au bord d’un puits, et une femme de Samarie venue chercher de l’eau au puits.

Après une introduction pour situer la scène (v. 2-6), le dialogue lui-même se déroule au tour de 3 sujets

(1)   Dialogue sur l’eau du puits (v. 7-15)

(2)   Dialogue sur le mari (v. 16-19)

(3)   Dialogue sur le vrai culte (v. 20-24)

Le dialogue se termine avec une question sur l’identité du Messie (v. 25-26)

Dans l’introduction (v. 2-6), il est dit « qu’il fallait que Jésus traverse la Samarie » (v. 4). Or, la route par la Samarie n’est pas la seule possible pour rentrer de Jérusalem en Galilée. Elle est même peu recommandée à des pèlerins juifs, car les gens de Samarie étaient hostiles envers les pèlerins juifs qui allaient à, ou revenaient de Jérusalem ne passant par leur territoire (cf. l’épisode rapportée par Luc 9, 51-56). Cette « nécessité » soulignée par l’Evangile pour que Jésus traverse la Samarie n’est donc pas une nécessité géographique. Serait-elle d’un autre ordre ? Jésus qui comprenait sa mission comme étant l’annonce de la Bonne Nouvelle aux pauvres (quelque soit leur origine ethnique, cf. Lc 4, 25-30) trouvait-il sans doute « nécessaire » de profiter du chemin de retour de Jérusalem en Galilée pour aller au devant des Samaritains malgré leur hostilité déclarée envers les juifs.

(1)   Le dialogue sur l’eau du puits (v. 7-15)

a)      v. 7-9. Ce dialogue a lieu à l’heure la plus chaude du jour (la 6e heure, i.e., midi). Jésus fatigué par la route est assis au bord du puits. Il entre en dialogue avec la femme en avouant sa fatigue, sa soif et en demandant de l’aide.

La femme est surprise, choquée même par cette demande de Jésus car elle sait que les Juifs détestent les Samaritains et ne veulent avoir rien à faire avec eux. A partir de là le dialogue se poursuit sur un double registre :

–          d’un côté Jésus évoque le côté symbolique de l’eau et cherche à s’en servir pour se présenter à la Samaritaine pour ce qu’il est vraiment l’envoyé de Dieu ;

–          de l’autre côté, la Samaritaine reste sur le côté très physique de l’eau, la difficulté à puiser, etc. Elle ne comprend pas, mais elle est un peu déstabilisée et se laisse apprivoiser peu à peu.

b)     v. 10-15. Après le refus ou l’hésitation de la femme à lui donner à boire, Jésus qui s’est d’abord présenté humain et fragile, passe maintenant à un autre plan : il indique à la femme que celui qui lui demande de l’eau parce qu’il a soif et qu’il est fatigué, peut aussi lui donner de « l’eau vive » qui est un don de Dieu. « Si tu savais le don de Dieu et qui est celui qui te dit « donne moi à boire », c’est toi qui l’aurais prié et il t’aurait donné de l’eau vive » (v. 10). Jésus se manifeste à la fois comme celui qui, à partir d’un besoin humain fondamental, demande de l’aide, et celui qui peut donner autre chose si on savait qui il était et si on le lui demandait.

La femme reste toujours sur le plan physique, matériel, et évoque la difficulté à trouver de l’eau si on n’a rien pour puiser. Mais elle exprime quand même une première interrogation sur l’identité de Jésus : « Serais-tu plus grand que notre père Jacob ? »

Jésus la ramène sur le plan symbolique et spirituel en évoquant un autre genre de soif qui ne peut être apaisée qu’avec cette « eau qu’il donnera » ; il indique aussi que celui ou celle qui s’abreuve de cette eau qu’il donne, boit en fait à une source qui donne accès à la vie éternelle.

La femme se laisse attirer par l’invitation mystérieuse de Jésus même si elle ne comprend pas tout ce que Jésus veut dire par cette eau qui étanche toute soif ; elle ne voit dans la proposition de Jésus qu’un simple avantage matériel : « donne-moi de cette eau, et ainsi je n’aurais pas à venir puiser tous les jours ».

(2)   Dialogue sur le mari (v. 16-19)

C’est à ce moment là que Jésus change de sujet de conversation et l’invite à aller chercher son mari. Lorsqu’elle répond qu’elle n’a pas de mari, Jésus l’invite à faire la vérité et à reconnaître qu’elle en a eu de fait plusieurs, et donc que l’homme avec lequel elle est actuellement ne peut en effet être appelé son « mari ». Jésus la conduit à reconnaître sa vérité concrète d’une façon qui ne la blesse pas, mais qui la libère au contraire.

(3)   Dialogue sur le vrai culte (v. 20-24)

La femme, sans doute impressionnée par la façon dont elle a été mise en face de la vérité de sa vie concrète, évoque une deuxième fois la question de l’identité de Jésus (« je vois que tu es un prophète »). Mais en même temps, un peu gênée quand même, elle passe à un autre sujet moins personnel et évoque avec Jésus le litige classique qui divisait les Samaritains et les Juifs : quel était le « vrai temple » ? Celui des Juifs à Jérusalem, ou celui des Samaritains sur le Mont Garizim ? Ou en d’autre terme, quelle religion était la vraie, celle des Juifs ou celle des Samaritains ?

La question de la femme donne à Jésus l’occasion non pas simplement de trancher le litige entre Juifs et Samaritains (il passe dessus rapidement) mais surtout d’ouvrir une perspective beaucoup plus vaste et libérante. Jésus parle de « l’heure », i.e. du moment très spécial dans l’histoire où il ouvre pour les hommes un chemin nouveau pour entrer dans une relation filiale authentique avec Dieu. Avec la venue de Jésus, il ne s’agit plus de courir derrière les temples faits de mains d’hommes et de discuter à n’en plus finir sur quelle est la meilleure religion. Le vrai culte est désormais celui que Jésus inaugure en offrant sa vie à son Père par amour, dans le souffle de l’Esprit – i.e., dans le même mouvement d’amour qui le relie au Père de toute éternité.

Les vrais adorateurs, adorerait le Père en Esprit et en Vérité, lui dit Jésus. Jésus est lui-même la « vérité toute entière », i.e., celui qui nous révèle le vrai visage de Dieu. Donc adorer le Père passe par l’adoration de Jésus, Fils de Dieu. Mais pour l’adorer, il faut être habité par le souffle de l’Esprit, i.e., être pris et conduit par ce grand mouvement d’amour qui habite Jésus et qui nous habite aussi depuis notre baptême, et se laisser entraîner par cet amour à s’offrir soi même à Dieu comme Jésus pour accomplir pleinement sa volonté. C’est cela, cette offrande de nous-mêmes qui est l’adoration en esprit et en vérité. C’est cette adoration qui constitue l’originalité profonde de la vie chrétienne.

Conclusion

Devant cet enseignement surprenant et libérant de Jésus, la femme exprime pour la troisième fois une interrogation sur l’identité de Jésus : elle évoque le Messie qui lorsqu’il viendra « nous expliquera tout ». La réponse de Jésus à son interrogation est à la fois simple et lumineuse « Je le suis moi qui te parle ». « Je le suis » (en grec « ego eimi ») évoque le nom de Dieu révélé à Moïse, (« Je suis celui qui suis »). Jésus fait donc clairement allusion à sa divinité. Mais cette divinité s’exprime dans une parole humaine, s’identifie même à cette parole « Je le suis moi qui te parle ».

Le Messie, le Fils de Dieu, est d’abord la Parole de Dieu qui en s’adressant à nous sous une forme humaine devient « source de vie éternelle » pour celui ou celle, qui, comme la femme de Samarie, veut bien se laisser conduire par cette Parole.

  1. Jésus et ses disciples (v. 4, 27. 31-38)

Les apôtres reviennent après avoir été chercher à manger et s’étonnent que Jésus soit en plein dialogue avec une femme de Samarie. Mais ils n’osent pas l’interroger et se contentent d’insister qu’il mange un peu des provisions qu’ils ont apportées.

Jésus passe encore une fois du registre physique matériel où se situent les apôtres quand ils parlent de nourriture, au registre symbolique et parle, lui, de ce qui peut nourrir un homme tout donné à sa mission.

Il laisse entendre que ce qui le nourrit vraiment, c’est sa relation avec son Père qui le conduit à accomplir la mission qui lui a été confiée (v. 34).

Il évoque ensuite cette mission comme étant une moisson : il voit combien les gens (comme la Samaritaine qu’il vient de rencontrer) sont « mûrs pour la moisson », i.e., sont en attente, ont soif d’entendre la bonne nouvelle qui leur est destinée et qui peut les libérer (v. 35).

Il évoque enfin les rôles respectifs de ceux qui sèment aujourd’hui (comme lui avec la Samaritaine) et ceux qui moissonneront demain (comme les apôtres appelés à évangéliser la Samarie plus tard) ; et il souligne que ceux qui moissonneront dans la joie profiteront du dur labeur de ceux qui auront semé. (Allusion au don de sa vie qui est comparé dans St Jean 12, au grain de blé jeté en terre et qui doit mourir pour porter du fruit).

Il conclue en signifiant la grande joie qui habitera tous ceux et celles qui sont engagés dans la mission, qu’ils soient semeurs ou moissonneurs. Il y a vraiment de quoi se réjouir ensemble lorsque la Bonne Nouvelle est annoncée aux Pauvres (v. 36-38).

  1. Jésus et les Samaritains (4, 28-30. 39-42)

Au v. 28-29, il est dit que la femme Samaritaine « laisse là sa cruche » et va à la ville dire aux gens de venir rencontrer Jésus qui l’a tellement touchée.

La femme n’est plus branchée sur son besoin d’eau matérielle comme elle l’était au début. Elle laisse sa cruche derrière elle. Toute bouleversée, toute transformée par son dialogue avec Jésus où elle a reçu la merveilleuse révélation de son amour, elle court pour partager sa découverte avec les gens de son village. Elle a bu l’eau vive ; elle n’a plus soif de l’autre eau ; elle est devenue pour ses frères et sœurs témoin de cette eau vive qui donne le salut.

Les Samaritains qui viennent vers Jésus à l’invitation de la femme, font eux aussi l’expérience d’une rencontre personnelle avec Jésus qui les libère. Ils disent « nous l’avons entendu et nous savons que c’est vraiment lui le sauveur du monde ».

A l’issue de la rencontre de Jésus avec la Samaritaine, nous avons comme l’illustration de ce que Jésus avait prédit à la femme : il a une eau vive à nous donner – son amour simple et fort – qui apaise notre soif comme rien d’autre ; si nous accueillons cette eau vive, nous n’aurons plus soif des eaux terrestres et comme par un effet de cascades successives cette eau que nous recevons pourra déborder vers l’autre et devenir pour eux aussi source de vie.

  1. Ecouter une Parole

Ce récit de la rencontre de Jésus avec la Samaritaine est d’une richesse infinie, non seulement parce qu’il nous révèle ce qui s’est passé au bord d’un puits il y a 2000 ans, mais surtout parce qu’il nous révèle la façon dont Jésus aujourd’hui encore vient vers nous, se fait proche, nous parle, nous conduit et fait jaillir en nous une vie nouvelle.

Aujourd’hui encore pour Jésus, « il lui faut traverser notre Samarie ». Il veut traverser notre vie d’homme ou de femme même s’il y a en nous des résistances, des oppositions ou des ressentiments par rapport à la Parole de Dieu. Il veut nous atteindre au-delà de nos résistances de surface.

Aujourd’hui encore, Jésus se présente à nous à travers l’Evangile comme un homme faible et vulnérable qui peut ressentir la soif, être fatigué par la route et avoir envie d’un peu d’eau. En même temps, à travers ce visage humain simple et proche de nous, il veut nous conduire à découvrir le visage du Dieu qui prend l’initiative de nous aimer, sachant que cet amour peut nous transformer radicalement, si seulement nous savons l’accueillir.

Aujourd’hui encore, Jésus nous dit « si tu savais le don de Dieu », i.e., « si tu savais reconnaître, accueillir celui qui est là près de toi, au bord du puits de ta vie et qui te propose de l’eau vive », tu le lui demanderais, et il t’en donnerait en abondance. Durant le Carême, Jésus vient vers nous et nous propose de trouver ou de retrouver cette source d’eau vive qui n’est autre que son amour personnel pour nous, son amour qui nous pardonne, nous purifie et nous sauve.

Aujourd’hui encore, Jésus nous conduit à faire la vérité sur notre vie, à reconnaître notre péché là où il se trouve. Il le fait avec délicatesse comme avec la Samaritaine ; il a une manière de nous dire notre vérité non pas de manière blessante, mais d’une façon qui nous libère, et nous conduit à une vie nouvelle.

Aujourd’hui encore, Jésus veut nous conduire comme la Samaritaine à « l’adoration en esprit et en vérité ». Il nous invite pour cela à ne pas nous attacher à des pratiques religieuses extérieures qui peuvent donner bonne conscience, mais ne nous transforment pas profondément. Il nous invite plutôt à descendre au fond de nous-mêmes pour laisser l’Esprit nous conduire vers une communion plus profonde avec lui, vers une façon simple mais vraie de nous offrir nous-mêmes à Dieu en réponse à son amour qui va jusqu’à donner sa vie pour nous.

Aujourd’hui encore, Jésus nous invite à laisser là nos « cruches » (i.e, nos petites habitudes, nos petits conforts) pour aller vers nos frères et sœurs qui ont soif eux aussi d’eau vive ; l’eau vive qu’il nous a donnée, i.e., l’amour qu’il nous témoigne, si nous l’accueillons, elle peut déborder vers les autres et devenir pour eux aussi source de vie nouvelle.

Aujourd’hui encore, Jésus nous invite à trouver comme lui notre nourriture dans une simple disponibilité, un simple abandon à faire avec confiance la volonté de celui qui nous envoie vivre notre vocation de baptisé, de disciple au milieu de nos frères et sœurs.

Enfin, Jésus nous invite à partager sa joie, la joie d’un semeur, ou celle d’un moissonneur selon sa volonté pour nous.

  1. Prier pour répondre à la Parole de Dieu

Devant cette merveilleuse rencontre entre Jésus et la Samaritaine, prenons le temps de nous recueillir et de faire silence. Laissons descendre en nous les paroles que Jésus adressait à la Samaritaine et qu’il nous adresse aussi aujourd’hui. Rendons lui grâce de bien vouloir nous révéler son désir de se faire proche de nous, son désir de nous donner de l’eau vive, de nous révéler son amour, de nous aider à faire la vérité sur nous-mêmes, son désir d’étancher notre soif et de transformer nos vies. Ecoutons aussi l’appel qu’il nous fait en nous invitant à devenir semeurs, ou ouvriers pour la moisson.

A chacun ensuite de formuler sa propre prière devant ce Jésus qui se présente à nous à la fois comme un homme fatigué par la route, et qui demande de l’eau, et en même temps comme le Fils de Dieu, Messie désirant tellement nous donner l’eau vive qui répond à la soif profonde des hommes.

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